L'ingénieur Bruno Victor Louis d'Érneville, a déclaré officiellement, hier, face à la presse, sa candidature à l'élection présidentielle de 2012. Il a été porté par le mouvement citoyen dénommé «Programme action citoyenne totale» (Pact) réunissant des personnes de toutes catégoriques sociales, cultures et confessions, doctrines philosophiques. Le projet de société de l'ingénieur des Travaux publics pour le Sénégal en vue d’«une nouvelle confiance nationale» repose sur trois principes : refondation, restructuration et remobilisation (3R). À travers la refondation, Bruno d'Érneville veut «réconcilier la Nation avec elle-même. Et cela par le pansement des blessures passées restées béantes, comme la crise casamançaise». S’agissant de la restructuration, le candidat à la présidentielle de 2012 entend créer un environnement propice à la création accélérée de richesses, un climat des affaires favorables. Quant à la remobilisation, l'ingénieur des Travaux publics envisage de remobiliser le peuple sénégalais dans son ensemble. «Il est temps de se défaire de tous les comportements et attitudes qui ont empêché le pays de réaliser tout son potentiel : fatalisme, nombrilisme, partisanisme antirépublicain, politique politicienne, népotisme, corruption», a déclaré Bruno d'Érneville.
Me Moussa Diop, avocat au barreau de Paris, vient de faire aussi sa rentrée politique. Il a été porté à Kaolack après un congrès de son parti, "l’alternance générationnelle. Me Moussa Diop a apporté quelques précisons sur sa candidature en déclarant qu’il se veut candidat de rupture. En quoi innovant ? Autour du parti «L’Alternance générationnelle», l’avocat et ses militants comptent apporter du sang neuf à la magistrature suprême mais aussi «rompre avec la manière de faire la politique depuis 40 ans».
. «Ce sont les mêmes personnes qui sont là depuis 40 ans. Elles se recyclent par la transhumance. Nous avons besoin de changer», fait remarquer le nouveau candidat, qui est toutefois conscient qu’il n’est pas «très connu» mais que cela ne le dérange pas trop. Dans la mesure où il n’est ni étranger, ni inconnu» des Sénégalais.
Ce qui fait qu’il il n’exclut aucune coalition. «En politique, on n’est pas en course de vitesse. Il faut des orientations. Il doit nous conduire à mettre des décisions sur place avant de formuler un choix. Les coalitions vont se faire. Je ne suis pas suffisant, je suis affable», a-t-il fait savoir.
Me Moussa Diop, avocat au barreau de Paris, vient de faire aussi sa rentrée politique. Il a été porté à Kaolack après un congrès de son parti, "l’alternance générationnelle. Me Moussa Diop a apporté quelques précisons sur sa candidature en déclarant qu’il se veut candidat de rupture. En quoi innovant ? Autour du parti «L’Alternance générationnelle», l’avocat et ses militants comptent apporter du sang neuf à la magistrature suprême mais aussi «rompre avec la manière de faire la politique depuis 40 ans».
. «Ce sont les mêmes personnes qui sont là depuis 40 ans. Elles se recyclent par la transhumance. Nous avons besoin de changer», fait remarquer le nouveau candidat, qui est toutefois conscient qu’il n’est pas «très connu» mais que cela ne le dérange pas trop. Dans la mesure où il n’est ni étranger, ni inconnu» des Sénégalais.
Ce qui fait qu’il il n’exclut aucune coalition. «En politique, on n’est pas en course de vitesse. Il faut des orientations. Il doit nous conduire à mettre des décisions sur place avant de formuler un choix. Les coalitions vont se faire. Je ne suis pas suffisant, je suis affable», a-t-il fait savoir.