À cause des inondations qui ont ravagé leurs champs, ils n’ont pas pu la payer, selon le président du Comité interprofessionnel riz (Ciriz), Ousseynou Ndiaye.
‘’Nous allons trouver une solution à cette dette de 9 milliards mais il faudra que vous respectiez votre parole’’, a dit M. Diagne en s’adressant à leur représentant, le président du Ciriz.
Ce dernier a informé le ministre de la difficulté à payer la dette, à l’occasion de la cérémonie officielle d’ouverture des assises nationales de la riziculture, organisées par la Société d’aménagement des terres du delta et de la Falémé et le Ciriz.
‘’Nous allons résoudre ce problème. Nous pensons vous ne pourrez jamais, sans cela, atteindre la souveraineté alimentaire’’, a assuré Mabouba Diagne, invitant les producteurs à s’engager à respecter leur engagement.
Il a exprimé le souhait que les producteurs lui montrent, au terme des assises, la voie à suivre pour augmenter la productivité, sans quoi la souveraineté alimentaire ne serait pas possible.
M. Diagne considère que l’agriculture et l’élevage doivent être considérés comme une priorité. ‘’Les autorités […] en sont conscientes’’, a-t-il dit.
Le ministre de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de l’Élevage a rappelé les contraintes à la production de riz, dont la forte consommation implique des sorties de devises contribuant à déséquilibrer la balance commerciale du pays.
Le président du Ciriz s’est réjoui de l’engagement pris par le ministre sur la nécessité de trouver une solution à l’endettement des producteurs envers les banques.
Ousseynou Ndiaye a invité le ministère de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de l’Élevage à trouver une solution à l’invasion d’oiseaux migrateurs et aux risques d’inondation qui, selon lui, nuisent souvent à la production.
Mathieu Bosc, du département eau, agriculture et climat à l’Agence française de développement, a assuré Mabouba Diagne et les riziculteurs de la vallée du fleuve du Sénégal de la disponibilité de la structure qu’il représente à soutenir la politique de souveraineté alimentaire du Sénégal.
Les assises nationales de la riziculture, qui vont durer trois jours, vont déboucher sur de ‘’fortes recommandations’’ en vue de l’atteinte de la souveraineté alimentaire, selon les organisateurs.
Ces recommandations seront, disent-ils, une contribution du Ciriz au programme ‘’Sénégal 2050’’, le programme de développement du pays.
APS
‘’Nous allons trouver une solution à cette dette de 9 milliards mais il faudra que vous respectiez votre parole’’, a dit M. Diagne en s’adressant à leur représentant, le président du Ciriz.
Ce dernier a informé le ministre de la difficulté à payer la dette, à l’occasion de la cérémonie officielle d’ouverture des assises nationales de la riziculture, organisées par la Société d’aménagement des terres du delta et de la Falémé et le Ciriz.
‘’Nous allons résoudre ce problème. Nous pensons vous ne pourrez jamais, sans cela, atteindre la souveraineté alimentaire’’, a assuré Mabouba Diagne, invitant les producteurs à s’engager à respecter leur engagement.
Il a exprimé le souhait que les producteurs lui montrent, au terme des assises, la voie à suivre pour augmenter la productivité, sans quoi la souveraineté alimentaire ne serait pas possible.
M. Diagne considère que l’agriculture et l’élevage doivent être considérés comme une priorité. ‘’Les autorités […] en sont conscientes’’, a-t-il dit.
Le ministre de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de l’Élevage a rappelé les contraintes à la production de riz, dont la forte consommation implique des sorties de devises contribuant à déséquilibrer la balance commerciale du pays.
Le président du Ciriz s’est réjoui de l’engagement pris par le ministre sur la nécessité de trouver une solution à l’endettement des producteurs envers les banques.
Ousseynou Ndiaye a invité le ministère de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de l’Élevage à trouver une solution à l’invasion d’oiseaux migrateurs et aux risques d’inondation qui, selon lui, nuisent souvent à la production.
Mathieu Bosc, du département eau, agriculture et climat à l’Agence française de développement, a assuré Mabouba Diagne et les riziculteurs de la vallée du fleuve du Sénégal de la disponibilité de la structure qu’il représente à soutenir la politique de souveraineté alimentaire du Sénégal.
Les assises nationales de la riziculture, qui vont durer trois jours, vont déboucher sur de ‘’fortes recommandations’’ en vue de l’atteinte de la souveraineté alimentaire, selon les organisateurs.
Ces recommandations seront, disent-ils, une contribution du Ciriz au programme ‘’Sénégal 2050’’, le programme de développement du pays.
APS