"Il fallait, après ces élections, interroger l’impact de cette nouvelle forme de légitimité dans nos gouvernements locaux", a expliqué le directeur de cette UFR, Pape Fara Diallo.
Il a expliqué que c’est la raison pour laquelle l’idée a été émise de regrouper notamment des acteurs politiques, des magistrats et des universitaires qui jugeaient les contentieux pour évaluer ces élections
"Il y a également que la loi sur la parité était appliquée pour la deuxième fois dans notre pays, et il fallait évaluer si elle a contribué à rétablir l’égalité entre homme et femme", a-t-il poursuivi.
Il a rappelé les nombreux contentieux dus à la non application de la parité lors de l’élection des bureaux municipaux et des conseils départementaux.
Cette loi a suscité des contentieux qu’il faut interroger également pour demain les éviter, a préconisé l’universitaire. Il estime que la lourdeur ou non de ceux-ci peut renseigner sur l’évolution de la démocrate sénégalaise.
Pour lui, cette journée a été aussi une occasion de se pencher sur le comportement de l’électeur dont le vote peut dépendre des programmes, de la communication politique ou de l’influence qu’exercent certains médiateurs sociaux sur lui.
Il promet, une fois les travaux terminés, de tout coucher sur un document pour le soumettre à l’appréciation du grand public et des autorités dont l’action doit être guidée par une recherche préalable.
Alioune Tine, le fondateur du Think Tank Africajom Center, considère que ce panel animé par des universitaires "jeunes et très rigoureux" était "de haute facture’’, soulignant que les intervenants ont "abordé les principales impasses" de la démocratie sénégalaise.
Pour lui, la recherche doit sortir des locaux de l’université et permettre à cette démocratie de franchir des bonds.
Avec APS
Il a expliqué que c’est la raison pour laquelle l’idée a été émise de regrouper notamment des acteurs politiques, des magistrats et des universitaires qui jugeaient les contentieux pour évaluer ces élections
"Il y a également que la loi sur la parité était appliquée pour la deuxième fois dans notre pays, et il fallait évaluer si elle a contribué à rétablir l’égalité entre homme et femme", a-t-il poursuivi.
Il a rappelé les nombreux contentieux dus à la non application de la parité lors de l’élection des bureaux municipaux et des conseils départementaux.
Cette loi a suscité des contentieux qu’il faut interroger également pour demain les éviter, a préconisé l’universitaire. Il estime que la lourdeur ou non de ceux-ci peut renseigner sur l’évolution de la démocrate sénégalaise.
Pour lui, cette journée a été aussi une occasion de se pencher sur le comportement de l’électeur dont le vote peut dépendre des programmes, de la communication politique ou de l’influence qu’exercent certains médiateurs sociaux sur lui.
Il promet, une fois les travaux terminés, de tout coucher sur un document pour le soumettre à l’appréciation du grand public et des autorités dont l’action doit être guidée par une recherche préalable.
Alioune Tine, le fondateur du Think Tank Africajom Center, considère que ce panel animé par des universitaires "jeunes et très rigoureux" était "de haute facture’’, soulignant que les intervenants ont "abordé les principales impasses" de la démocratie sénégalaise.
Pour lui, la recherche doit sortir des locaux de l’université et permettre à cette démocratie de franchir des bonds.
Avec APS