NDARINFO vous la déclaration du Front Nationale de Résistance (FRN), datée du 8 février 2021, à propos de l’affaire Ousmane Sonko. « Avant-hier, c'étaient les cas de Karim Wade et de Khalifa Ababacar Sall, accusés d'enrichissement illicite ou de détournement de deniers publics. Tous les deux ont été livrés à la vindicte populaire, emprisonnés et/ou exilé, par l'utilisation de la justice pour la liquidation d'adversaires politiques.
Hier, c'était au tour respectivement, d’Abdoul Mbaye et de Bougane Dany Guèye, vilipendés comme des malpropres, soi-disant impliqués dans des affaires non conformes à la moralité.
Aujourd'hui, c'est Ousmane Sonko qui se voit indexé pour une supposée affaire de mœurs.
Le FRN ne peut que s'indigner avec la dernière énergie devant cette stratégie manifestement déroulée pour tenter d'affaiblir et liquider politiquement et socialement des adversaires politiques, en foulant aux pieds toute considération d'ordre éthique. On le sait, l'objectif visé est de " réduire l'opposition à sa plus simple expression" !
Le FRN ne saurait se substituer au tribunal qui est censé, chaque fois que de besoin, faire son travail librement, en toute indépendance. Malheureusement le parti-pris de certaines instances juridictionnelles est manifeste quand il s'agit "d'affaires politiques", ce qui n’est pas le cas quand il faut poursuivre les mis en cause par les audits conduits par des institutions de l’Etat.
Ce n'est donc pas étonnant si notre pays est aujourd'hui classé par les institutions internationales parmi les derniers de la classe en matière de démocratie. Entre "une démocratie imparfaite et la dictature". Quelle régression et quelle honte !
Le FRN pour sa part, tient à mettre en garde le régime en place pour lui signifier qu'il ne saurait demeurer indifférent face à de telles ignominies et d'arrêter la judiciarisation de la vie politique.
Le FRN en appelle, par-delà l'opposition à tous les patriotes et démocrates à se tenir debout et unis pour arrêter et mettre hors d'état de nuire cette dictature rampante qui menace la nation toute entière. »
Hier, c'était au tour respectivement, d’Abdoul Mbaye et de Bougane Dany Guèye, vilipendés comme des malpropres, soi-disant impliqués dans des affaires non conformes à la moralité.
Aujourd'hui, c'est Ousmane Sonko qui se voit indexé pour une supposée affaire de mœurs.
Le FRN ne peut que s'indigner avec la dernière énergie devant cette stratégie manifestement déroulée pour tenter d'affaiblir et liquider politiquement et socialement des adversaires politiques, en foulant aux pieds toute considération d'ordre éthique. On le sait, l'objectif visé est de " réduire l'opposition à sa plus simple expression" !
Le FRN ne saurait se substituer au tribunal qui est censé, chaque fois que de besoin, faire son travail librement, en toute indépendance. Malheureusement le parti-pris de certaines instances juridictionnelles est manifeste quand il s'agit "d'affaires politiques", ce qui n’est pas le cas quand il faut poursuivre les mis en cause par les audits conduits par des institutions de l’Etat.
Ce n'est donc pas étonnant si notre pays est aujourd'hui classé par les institutions internationales parmi les derniers de la classe en matière de démocratie. Entre "une démocratie imparfaite et la dictature". Quelle régression et quelle honte !
Le FRN pour sa part, tient à mettre en garde le régime en place pour lui signifier qu'il ne saurait demeurer indifférent face à de telles ignominies et d'arrêter la judiciarisation de la vie politique.
Le FRN en appelle, par-delà l'opposition à tous les patriotes et démocrates à se tenir debout et unis pour arrêter et mettre hors d'état de nuire cette dictature rampante qui menace la nation toute entière. »