La présidente de l'Alliance nationale And Saxal Liguey Aida Mbodj, a rejeté la main tendue de Macky Sall. Elle rejoint ainsi les partis de l’opposition qui ont décidé de ne pas participer au dialogue lancé par le Président Macky Sall.
« Par respect aux Sénégalais. Que tout le monde se le tienne pour dit. Un dialogue qui comporte les germes de sa propre stérilité ne peut enregistrer qu’un retour défavorable à l’envoyeur, le Président (Macky Sall). Par conséquent, And Saxal Liguey ne participera pas du tout au dialogue envisagé, vu le contexte où le président de la République refuse encore d’annoncer qu’il n’a pas droit à un troisième mandat », a lâché l’ancienne ministre de la Femme, de la Famille.
La présidente de l’Alliance nationale And Saxal Liguey considère le dialogue d’illégitime. « Un dialogue politique que nous considérons comme illégitime vu le contexte où de nombreux acteurs sont encore détenus arbitrairement dans les cellules et les maisons d’arrêt ».
Aida Mbodj demande leur libération « immédiate et sans condition».
Selon elle, vu la volonté de l’actuel chef de l’Etat « à vouloir poursuivre son objectif anticonstitutionnel de réduire l’opposition à sa plus simple expression et de vouloir la mettre en mal avec l’opinion publique ».
« Par respect aux Sénégalais. Que tout le monde se le tienne pour dit. Un dialogue qui comporte les germes de sa propre stérilité ne peut enregistrer qu’un retour défavorable à l’envoyeur, le Président (Macky Sall). Par conséquent, And Saxal Liguey ne participera pas du tout au dialogue envisagé, vu le contexte où le président de la République refuse encore d’annoncer qu’il n’a pas droit à un troisième mandat », a lâché l’ancienne ministre de la Femme, de la Famille.
La présidente de l’Alliance nationale And Saxal Liguey considère le dialogue d’illégitime. « Un dialogue politique que nous considérons comme illégitime vu le contexte où de nombreux acteurs sont encore détenus arbitrairement dans les cellules et les maisons d’arrêt ».
Aida Mbodj demande leur libération « immédiate et sans condition».
Selon elle, vu la volonté de l’actuel chef de l’Etat « à vouloir poursuivre son objectif anticonstitutionnel de réduire l’opposition à sa plus simple expression et de vouloir la mettre en mal avec l’opinion publique ».