Grand acteur du mouvement du 23 juin qui a jeté les bases de la chute de Me Abdoulaye WADE, le président d’Afrikajom center estime que grand-chose n’a changé avec l’avènement de Mack SALL.
Dans un entretien avec le journal EnQuête, Alioune TINE craint même une catastrophe en 2024. Une situation qu’il explique en grande partie par le manque de confiance entre les acteurs politiques. Quid du dialogue qui était censé produire l’effet contraire ? « Le dialogue a échoué Avec tout ce que cela a donné, aujourd’hui, cela va nous mener vers des tensions en 2024», tranche-t-il.
Pour l’ancien directeur exécutif de la Rencontre africaine des droits de l’homme (RADDHO), le pire est encore évitable. « Il faut, d’une manière ou d’une autre, reprendre là où ça s’est gâté pour produire du consensus pour éviter un 2024 catastrophique. Il n’est pas trop tard pour le faire. Cela requiert du côté du pouvoir et de l’opposition qu’ils se fassent violence. C’est extrêmement important. Nous n’avons pas besoin, par nos attitudes et la politique, d’affaiblir davantage un Etat qui est aujourd’hui très affecté par la pandémie et Delta. On ne prend pas conscience de son impact. Ce moment doit être un moment de conscience collective et voir comment désamorcer les bombes à retardement de 2024 », estime Alioune TINE.
WALFNET
Dans un entretien avec le journal EnQuête, Alioune TINE craint même une catastrophe en 2024. Une situation qu’il explique en grande partie par le manque de confiance entre les acteurs politiques. Quid du dialogue qui était censé produire l’effet contraire ? « Le dialogue a échoué Avec tout ce que cela a donné, aujourd’hui, cela va nous mener vers des tensions en 2024», tranche-t-il.
Pour l’ancien directeur exécutif de la Rencontre africaine des droits de l’homme (RADDHO), le pire est encore évitable. « Il faut, d’une manière ou d’une autre, reprendre là où ça s’est gâté pour produire du consensus pour éviter un 2024 catastrophique. Il n’est pas trop tard pour le faire. Cela requiert du côté du pouvoir et de l’opposition qu’ils se fassent violence. C’est extrêmement important. Nous n’avons pas besoin, par nos attitudes et la politique, d’affaiblir davantage un Etat qui est aujourd’hui très affecté par la pandémie et Delta. On ne prend pas conscience de son impact. Ce moment doit être un moment de conscience collective et voir comment désamorcer les bombes à retardement de 2024 », estime Alioune TINE.
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