Le programme TACSS, mis en œuvre par Counterpart International, a permis "la couverture de plus de 80 pour cent" de sa cible, correspondant à 270 établissements scolaires, dont 204 écoles élémentaires et 66 écoles préscolaires disposant de cantines scolaires pour l’alimentation des élèves, a indiqué M. Seck.
Il intervenait au cours d’un atelier de renforcement de capacités des acteurs de l’éducation, ouvert jeudi à Saint-Louis, dans le cadre de la mise en œuvre du projet TACSS, un programme d’alimentation scolaire et de nutrition mis en œuvre par l’ONG Counterpart International, sous l’égide du département américain de l’alimentation.
Cette rencontre est à l’initiative des inspections de l’éducation et la formation (IEF) de Podor, Dagana et Saint-Louis.
Selon le chef de la division des cantines scolaires au niveau du ministère de l’Education nationale, ce projet vise à promouvoir "la transition des cantines scolaires vers un programme d’alimentation basé sur les produits locaux dans la région de Saint-Louis".
A l’issue de cette formation axée sur les techniques culinaires, les mêmes acteurs seront formés dans la gestion des vivres, a expliqué El Hadj Seck, selon qui les communautés seront chargées de "stocker et de gérer les vivres au niveau des écoles. Il va falloir les préparer pour ces tâches".
Dans cette perspective, a ajouté M. Seck, "il est question de pérenniser ce programme", afin que "les élèves puissent avoir accès à la nourriture saine, pour de meilleurs conditions d’étude à l’école".
"La santé de l’enfant passe nécessairement par une bonne alimentation de qualité. Or, sans bonne nourriture, l’enfant qui a faim, ne peut arriver à faire de bons résultats scolaires", a-t-il fait valoir.
APS
Il intervenait au cours d’un atelier de renforcement de capacités des acteurs de l’éducation, ouvert jeudi à Saint-Louis, dans le cadre de la mise en œuvre du projet TACSS, un programme d’alimentation scolaire et de nutrition mis en œuvre par l’ONG Counterpart International, sous l’égide du département américain de l’alimentation.
Cette rencontre est à l’initiative des inspections de l’éducation et la formation (IEF) de Podor, Dagana et Saint-Louis.
Selon le chef de la division des cantines scolaires au niveau du ministère de l’Education nationale, ce projet vise à promouvoir "la transition des cantines scolaires vers un programme d’alimentation basé sur les produits locaux dans la région de Saint-Louis".
A l’issue de cette formation axée sur les techniques culinaires, les mêmes acteurs seront formés dans la gestion des vivres, a expliqué El Hadj Seck, selon qui les communautés seront chargées de "stocker et de gérer les vivres au niveau des écoles. Il va falloir les préparer pour ces tâches".
Dans cette perspective, a ajouté M. Seck, "il est question de pérenniser ce programme", afin que "les élèves puissent avoir accès à la nourriture saine, pour de meilleurs conditions d’étude à l’école".
"La santé de l’enfant passe nécessairement par une bonne alimentation de qualité. Or, sans bonne nourriture, l’enfant qui a faim, ne peut arriver à faire de bons résultats scolaires", a-t-il fait valoir.
APS