« Je l’ai crié partout, il faut que l’on arrête d’avoir un Sénégal à deux vitesses. Un Sénégalais à part entière est un Sénégal entièrement à part. C’est n’est pas tenable. C’était prévisible qu’il arriverait un moment où le couvercle sauterait. Et si nous n’y prenons garde, le couvercle va complétement sauter et nous aurons du mal à le rabattre sur la casserole. Qui serait perdant ? Chacun d’entre nous. L’on ne nous a pas confié le pays pour que nous croisons les bras pour voir et observer le pays aller en déliquescence. L’on nous a confié le pays pour que nous proposons des modes et des méthodes alternatives de gestion, d’amélioration des quotidiens de nos concitoyens, avec de la compassion, de l’amour et de tendresse. Et que l’on puisse répondre à ceux qui, il y a 12 ans, nous ont confié le pays. Mais je dois avouer face à vous que nous nous sommes écartés de cet objectif, de cette finalité. Et quand le moment sera venu de rendre compte, nous seront tous mal barrés pour paraître fiers devant vous », a lancé l'avocat.
« Une jeunesse qui meurt en mer et qui sert d’aliments à des poissons. Une jeunesse intrépide, malgré tout, dira-t-il, qui aime travailler et qui aime se pousser à l’effort. C’est notre responsabilité à nous tous de donner à cette jeunesse ces talents dont il a besoin », a-t-il adressé.
Il a aussi pointé ce Sénégal a deux vitesses. « C’était prévisible que le couvert sauterait et si on n’y tient garde il sauterait éminemment et on aurait du mal à le rabattre », a prévenu le diplomate.
ABC évoque les espoirs déchus et pointe la responsabilité de l’Etat. « Nous avons le devoir de marquer une pause et d’entendre la jeunesse, de les écouter. Arrêtez de les menacer et de les terroriser, ça ne passe pas », a-t-il conclu.
« Une jeunesse qui meurt en mer et qui sert d’aliments à des poissons. Une jeunesse intrépide, malgré tout, dira-t-il, qui aime travailler et qui aime se pousser à l’effort. C’est notre responsabilité à nous tous de donner à cette jeunesse ces talents dont il a besoin », a-t-il adressé.
Il a aussi pointé ce Sénégal a deux vitesses. « C’était prévisible que le couvert sauterait et si on n’y tient garde il sauterait éminemment et on aurait du mal à le rabattre », a prévenu le diplomate.
ABC évoque les espoirs déchus et pointe la responsabilité de l’Etat. « Nous avons le devoir de marquer une pause et d’entendre la jeunesse, de les écouter. Arrêtez de les menacer et de les terroriser, ça ne passe pas », a-t-il conclu.