Le Sénégal est un pays de paradoxe. Un pays peuplé à 95% de musulmans où on compte plus de monogames que de polygames. Des 5e femmes et d’autres qui vivent en concubinage, on en compte à la pelle. Pendant ce temps, près de deux millions de filles cherchent maris.
1-Plus de monogames que de polygames
Même si elles ont peur à l’idée de devoir vieillir sans époux, les femmes sénégalaises ont horreur de la polygamie. En effet, 1.459.080 membres de la gent féminine vivent sous le régime de la monogamie. Cependant, renseignent les statistiques du recensement général de la Population et de l’Habitat, publiés en 2014 par l’Agence nationale de la statistique et de la démographie du Sénégal (Ansd), 1.147.551 de sénégalaises vivent dans un ménage polygame.
2- Il y a 402 487 « niarel », 74 136 « niatèl » et 13 525 « nientèl»
Mais, les premières épouses restent les plus nombreuses. En effet, les «aawo», comme on les appelle affectueusement en wolof, sont au nombre de 1.459.080 de sénégalaises. Puis, viennent les secondes épouses, appelées «niarels» en wolof. Elles sont au nombre de 402 487 sénégalaises. Les troisième et 4e épouses sont respectivement au nombre de 74 136 et 13 525 sénégalaises.
3-Des 5e épouses à la pelle
Au Sénégal, pays de majorité musulmane, il y a pourtant plus de mille femmes qui sont des 5e épouses. Lors de son dernier recensement de la population, l’Agence nationale de la statistique et de la démographie du Sénégal (Ansd) a recensé environ 1664 sénégalaises qui ont refusé d’être considérées comme des femmes vivant en concubinage, mais qui disent être épousées dans les règles de l’art et sont des 5e femmes.
4- près de 2 millions de filles cherchent maris
Et cette période de froid, nombreuses sont les femmes sénégalaises qui auraient souhaité passer cette saison de l’année, dans les chauds liens du mariage. Le président de la République qui, alors candidat, promettait des maris aux sénégalaises, n’aura, visiblement, pas tenu cette promesse durant ses deux années de mandat, puisque les filles célibataires sont nombreuses. Elles sont estimées à 1 544 480 sénégalaises.
1-Plus de monogames que de polygames
Même si elles ont peur à l’idée de devoir vieillir sans époux, les femmes sénégalaises ont horreur de la polygamie. En effet, 1.459.080 membres de la gent féminine vivent sous le régime de la monogamie. Cependant, renseignent les statistiques du recensement général de la Population et de l’Habitat, publiés en 2014 par l’Agence nationale de la statistique et de la démographie du Sénégal (Ansd), 1.147.551 de sénégalaises vivent dans un ménage polygame.
2- Il y a 402 487 « niarel », 74 136 « niatèl » et 13 525 « nientèl»
Mais, les premières épouses restent les plus nombreuses. En effet, les «aawo», comme on les appelle affectueusement en wolof, sont au nombre de 1.459.080 de sénégalaises. Puis, viennent les secondes épouses, appelées «niarels» en wolof. Elles sont au nombre de 402 487 sénégalaises. Les troisième et 4e épouses sont respectivement au nombre de 74 136 et 13 525 sénégalaises.
3-Des 5e épouses à la pelle
Au Sénégal, pays de majorité musulmane, il y a pourtant plus de mille femmes qui sont des 5e épouses. Lors de son dernier recensement de la population, l’Agence nationale de la statistique et de la démographie du Sénégal (Ansd) a recensé environ 1664 sénégalaises qui ont refusé d’être considérées comme des femmes vivant en concubinage, mais qui disent être épousées dans les règles de l’art et sont des 5e femmes.
4- près de 2 millions de filles cherchent maris
Et cette période de froid, nombreuses sont les femmes sénégalaises qui auraient souhaité passer cette saison de l’année, dans les chauds liens du mariage. Le président de la République qui, alors candidat, promettait des maris aux sénégalaises, n’aura, visiblement, pas tenu cette promesse durant ses deux années de mandat, puisque les filles célibataires sont nombreuses. Elles sont estimées à 1 544 480 sénégalaises.