"Les Etats-Unis investissent massivement, sur le long terme, dans le progrès en Afrique", a déclaré M. Obama au deuxième jour du sommet USA-Afrique qui rassemble depuis lundi à Washington plus de 40 chefs d'Etat et de gouvernement africains.
Le président américain a en particulier annoncé la mobilisation, en partenariat avec le secteur privé, la Banque Mondiale et le gouvernement suédois, de 26 milliards de dollars en faveur du programme "Power Africa", qui vise à doubler l'accès à l'électricité en Afrique subsaharienne.
Il a confirmé que des entreprises américaines, parmi lesquelles Marriott ou General Electric, s'étaient engagées sur de nouveaux investissements d'un moment total de 14 milliards de dollars.
M. Obama a cependant insisté sur la responsabilité des dirigeants africains dans la mise en place d'un environnement politique propice au développement économique.
"Le capital est une chose. Les programmes de développement sont une chose. Mais l'Etat de droit est encore plus important. Les gens doivent être capables d'envoyer des biens sans payer un pot-de-vin ou embaucher le cousin de quelqu'un", a déclaré le président américain.
"L'avenir appartient à ceux qui construisent, pas à ceux qui détruisent. Il est difficile d'attirer des investissements et extrêmement compliqué de bâtir des infrastructures et d'encourager l'esprit d'entreprise au beau milieu d'un conflit", a-t-il souligné.
7sur7.be
Le président américain a en particulier annoncé la mobilisation, en partenariat avec le secteur privé, la Banque Mondiale et le gouvernement suédois, de 26 milliards de dollars en faveur du programme "Power Africa", qui vise à doubler l'accès à l'électricité en Afrique subsaharienne.
Il a confirmé que des entreprises américaines, parmi lesquelles Marriott ou General Electric, s'étaient engagées sur de nouveaux investissements d'un moment total de 14 milliards de dollars.
M. Obama a cependant insisté sur la responsabilité des dirigeants africains dans la mise en place d'un environnement politique propice au développement économique.
"Le capital est une chose. Les programmes de développement sont une chose. Mais l'Etat de droit est encore plus important. Les gens doivent être capables d'envoyer des biens sans payer un pot-de-vin ou embaucher le cousin de quelqu'un", a déclaré le président américain.
"L'avenir appartient à ceux qui construisent, pas à ceux qui détruisent. Il est difficile d'attirer des investissements et extrêmement compliqué de bâtir des infrastructures et d'encourager l'esprit d'entreprise au beau milieu d'un conflit", a-t-il souligné.
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