La loi électorale prévoit, en cas de multiples parrainages, des sanctions pénales. Et, c’est le cas avec l’élimination de 19 candidats à la présidentielle qui ont fait les frais de ces doublons à vaste échelle. En effet, sur 832 742 parrainages rejetés, 174 637 l’ont été pour cause de doublons.
Mais, selon des politistes interrogés par L’Observateur dans sa parution de ce samedi, «le pouvoir met dans cette affaire, pour des raisons électoralistes, la pédale douce». Pourtant, d’aucuns étaient enclins à penser que ces fautifs étaient assis sur une poudrière.
En effet, du journaliste-politologue Yoro Dia au professeur de droit pénal El Hadji Iba Barry Kamara, en passant par son collègue constitutionnaliste Abdoulaye Dièye, la conviction est partagée : «la loi doit être appliquée dans toute sa rigueur».
Mais, selon des politistes interrogés par L’Observateur dans sa parution de ce samedi, «le pouvoir met dans cette affaire, pour des raisons électoralistes, la pédale douce». Pourtant, d’aucuns étaient enclins à penser que ces fautifs étaient assis sur une poudrière.
En effet, du journaliste-politologue Yoro Dia au professeur de droit pénal El Hadji Iba Barry Kamara, en passant par son collègue constitutionnaliste Abdoulaye Dièye, la conviction est partagée : «la loi doit être appliquée dans toute sa rigueur».