Houle dangereuse à Saint-Louis. Crédit photo : NDARINFO
Le comité de pilotage du Projet de Protection Côtière de Saint-Louis (PPCS) a tenu, vendredi, sa première réunion de coordination. Au cours de cette rencontre, le dispositif préconisé pour la protection de la Langue de Barbarie, a été présenté.
Il s’agit d’un ouvrage enrochement d’une longueur de 2150 mètres et de plus de 3 mètres de hauteur. L’infrastructure dont la réalisation a été financée par l’Agence Française de Développement (AFD) pour un coût de plus de 10 milliards e FCFA permettra de faire face aux assauts des vagues.
« Nous sommes dans la dernière étape de contractualisation avec le groupement d’entreprises chargé de réaliser les travaux et la mission de contrôle », renseigne Mamadou WADE, le secrétaire général de l’Agence de Développement municipal (ADM).
« Ce projet est une composante d’un important programme mis en œuvre par le gouvernement pour résoudre définitivement le problème de l’avancée de la mer », a-t-il rappelé.
Une durée d’exécution de dix-huit mois sera nécessaire avec 3 ans de suivi scientifique après sa réalisation, renseigne Khadim HANN, l’adjoint au gouverneur qui présidait la rencontre. « L’ouvrage devra tenir entre 30 et 50 ans », a-t-il noté.
>>> Suivez les éclairages des parties prenantes …
Il s’agit d’un ouvrage enrochement d’une longueur de 2150 mètres et de plus de 3 mètres de hauteur. L’infrastructure dont la réalisation a été financée par l’Agence Française de Développement (AFD) pour un coût de plus de 10 milliards e FCFA permettra de faire face aux assauts des vagues.
« Nous sommes dans la dernière étape de contractualisation avec le groupement d’entreprises chargé de réaliser les travaux et la mission de contrôle », renseigne Mamadou WADE, le secrétaire général de l’Agence de Développement municipal (ADM).
« Ce projet est une composante d’un important programme mis en œuvre par le gouvernement pour résoudre définitivement le problème de l’avancée de la mer », a-t-il rappelé.
Une durée d’exécution de dix-huit mois sera nécessaire avec 3 ans de suivi scientifique après sa réalisation, renseigne Khadim HANN, l’adjoint au gouverneur qui présidait la rencontre. « L’ouvrage devra tenir entre 30 et 50 ans », a-t-il noté.
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