Plusieurs années après les rudes périphéries d’une acquisition, l’établissement peine à marquer son envol, en dépit du beau cadre envoûtant qui l’abrite. L’histoire de son enlisement est inédite.
Tout est parti d’une rencontre et des discussions autour de l’achat d’un hôtel dans la ville tricentenaire entre Angélique VANDERBECKEN et un homme qui se présentait comme le bailleur. L’affaire conclue après les liens de confiances noués. La dame débarque, à Ndar, enthousiaste avec sa famille, quelques mois après.
Le rêve se brise. Elle se heurte vite à l’impossibilité d’acquérir l’autorisation d’exploitation. En effet, le vendeur ne disposait d’aucun document pouvant prouver qu’il est le propriétaire du domaine sis à l’hydrobase de Saint-Louis.
Perdue, découragée, elle introduit une demande d’occupation de terrain considéré comme libre de droit. Les services de l’Etat (l’Anam et le cadastre) sont favorables à sa requête.
La promotrice hôtelière qui pensait avoir injecté son argent dans un projet viable, emportée par la chaleur du Sénégal et le charme de Saint-Louis fait face à une sombre réalité. Elle est contrainte d’engager des batailles judicaires pour recouvrer ses droits. Embourbée dans les affres, elle court, depuis, derrière sa survie.
Pendant ce temps, l’homme qui s’était présenté comme propriétaire des lieux sera condamné pour avoir vendu le même espace à une autre dame. Il devra payer la rondelette de 6 millions 500 mille FCFA.
Mme VANDERBECKEN porte plainte, elle aussi, porte-plainte pour escroquerie, menaces, faux et usage de faux devant le Procureur. Une dernière déposition faite en 2018 relance l’affaire.
Déprimée, plongée dans le désarroi et dans la tristesse, accrochée entre la vie et la mort, la Belge est aujourd’hui dans l’attente d’un dernier procès libérateur. Son expulsion ou reconduction sont suspendues à l’appréciation de la Cour d’Appel. Ainsi, le Phoenix renaîtra de ses cendres ou mourra à jamais.
NdarINFO
Tout est parti d’une rencontre et des discussions autour de l’achat d’un hôtel dans la ville tricentenaire entre Angélique VANDERBECKEN et un homme qui se présentait comme le bailleur. L’affaire conclue après les liens de confiances noués. La dame débarque, à Ndar, enthousiaste avec sa famille, quelques mois après.
Le rêve se brise. Elle se heurte vite à l’impossibilité d’acquérir l’autorisation d’exploitation. En effet, le vendeur ne disposait d’aucun document pouvant prouver qu’il est le propriétaire du domaine sis à l’hydrobase de Saint-Louis.
Perdue, découragée, elle introduit une demande d’occupation de terrain considéré comme libre de droit. Les services de l’Etat (l’Anam et le cadastre) sont favorables à sa requête.
La promotrice hôtelière qui pensait avoir injecté son argent dans un projet viable, emportée par la chaleur du Sénégal et le charme de Saint-Louis fait face à une sombre réalité. Elle est contrainte d’engager des batailles judicaires pour recouvrer ses droits. Embourbée dans les affres, elle court, depuis, derrière sa survie.
Pendant ce temps, l’homme qui s’était présenté comme propriétaire des lieux sera condamné pour avoir vendu le même espace à une autre dame. Il devra payer la rondelette de 6 millions 500 mille FCFA.
Mme VANDERBECKEN porte plainte, elle aussi, porte-plainte pour escroquerie, menaces, faux et usage de faux devant le Procureur. Une dernière déposition faite en 2018 relance l’affaire.
Déprimée, plongée dans le désarroi et dans la tristesse, accrochée entre la vie et la mort, la Belge est aujourd’hui dans l’attente d’un dernier procès libérateur. Son expulsion ou reconduction sont suspendues à l’appréciation de la Cour d’Appel. Ainsi, le Phoenix renaîtra de ses cendres ou mourra à jamais.
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