À peine reconstruite, la digue de protection Goxu Mbacc laisse apparaître des signes d’incapacité. Les déferlantes vagues de la houle dangereuse qui sévit sur les côtes de Saint-Louis sautent l’ouvrage pour se déverser dans les rues du quartier.
Des brise-lames plantés en amont semblent inefficaces. Quelques parties de l’ouvrage commencent à céder malgré le renforcement des fondements.
À GOXU MBACC, les populations sont septiques sur le nouveau procédé entrepris par l’Office des Lacs et Cours d’Eau (OLAC) après une première tentative échouée.
Pour rappel, un collectif avec brandi une plainte contre l’entreprise française EIFFAGE, en charge des travaux. Si la digue cède avec les prochaines houles en perspective, ce sont des milliards de francs CFA du contribuable sénégalais qui seront encore jetés en mer. La colère de la Langue de Barbarie sera alors vive.
Des brise-lames plantés en amont semblent inefficaces. Quelques parties de l’ouvrage commencent à céder malgré le renforcement des fondements.
À GOXU MBACC, les populations sont septiques sur le nouveau procédé entrepris par l’Office des Lacs et Cours d’Eau (OLAC) après une première tentative échouée.
Pour rappel, un collectif avec brandi une plainte contre l’entreprise française EIFFAGE, en charge des travaux. Si la digue cède avec les prochaines houles en perspective, ce sont des milliards de francs CFA du contribuable sénégalais qui seront encore jetés en mer. La colère de la Langue de Barbarie sera alors vive.
NDARINFO.COM