Le chef de la division régionale de l’hydraulique de Saint-Louis, Adama Ndianor, propose une politique de mise en place d’un système de taxis-bateaux pour s’adapter aux réalités fluviales, face à l’érosion côtière qui menace fortement la ville du nord.
‘’Les experts semblent être divisés sur la recherche de solutions. Moi, je suggère l’utilisation de taxis-bateaux dans les différentes rues en laissant l’eau suivre son cours normal par un système d’aménagement et de canalisation’’, a indiqué l’hydrologue lors d’une visite des journalistes de l’Agence de presse sénégalaise (APS), vendredi, sur la langue de barbarie. La rencontre de trois jours est organisée en partenariat avec la Fondation Konrad Adenaeuer.
‘’Dans quelle ville au monde où vous voyez la mer et le fleuve se rencontrer ? Nous avons cette spécificité à Saint-Louis mais nous devons la mettre en évidence par une adaptation des habitations aux réalités fluviales’’, a t-il expliqué dans une une communication sur les enjeux de l’eau à Saint-Louis.
Pour Adama Ndianor, ‘’nous devrons faire de cette ville (Saint-Louis) comme Venise (Italie) qui est une localité sous les eaux sans être menacée parce qu’il y’a une bonne adaptation des habitations’’.
‘’L’eau, a poursuivi le responsable de la division régionale de l’hydraulique, ne doit pas être un ennemi mais plutôt un partenaire’’.
‘’Saint-Louis est ceinturée par l’eau au point que si l’on n’y prend garde, elle risque de disparaître par le phénomène de l’érosion côtière’’, a averti le spécialiste reconnaissant que l’Etat du Sénégal ‘’n’a pas les moyens pour protéger un littoral long de 700 kilomètres’’.
‘’Depuis 1930 la ville de Saint-Louis n’a bénéficié d’aucune politique de protection contre le phénomène de l’érosion côtière’’, a indiqué le chef de la division régionale de l’hydraulique.
‘’Les experts semblent être divisés sur la recherche de solutions. Moi, je suggère l’utilisation de taxis-bateaux dans les différentes rues en laissant l’eau suivre son cours normal par un système d’aménagement et de canalisation’’, a indiqué l’hydrologue lors d’une visite des journalistes de l’Agence de presse sénégalaise (APS), vendredi, sur la langue de barbarie. La rencontre de trois jours est organisée en partenariat avec la Fondation Konrad Adenaeuer.
‘’Dans quelle ville au monde où vous voyez la mer et le fleuve se rencontrer ? Nous avons cette spécificité à Saint-Louis mais nous devons la mettre en évidence par une adaptation des habitations aux réalités fluviales’’, a t-il expliqué dans une une communication sur les enjeux de l’eau à Saint-Louis.
Pour Adama Ndianor, ‘’nous devrons faire de cette ville (Saint-Louis) comme Venise (Italie) qui est une localité sous les eaux sans être menacée parce qu’il y’a une bonne adaptation des habitations’’.
‘’L’eau, a poursuivi le responsable de la division régionale de l’hydraulique, ne doit pas être un ennemi mais plutôt un partenaire’’.
‘’Saint-Louis est ceinturée par l’eau au point que si l’on n’y prend garde, elle risque de disparaître par le phénomène de l’érosion côtière’’, a averti le spécialiste reconnaissant que l’Etat du Sénégal ‘’n’a pas les moyens pour protéger un littoral long de 700 kilomètres’’.
‘’Depuis 1930 la ville de Saint-Louis n’a bénéficié d’aucune politique de protection contre le phénomène de l’érosion côtière’’, a indiqué le chef de la division régionale de l’hydraulique.