Les États-Unis ont pour la première fois déclaré officiellement, lundi 21 mars, que la minorité musulmane des Rohingyas avait été victime d'un «génocide» perpétré par l'armée birmane en 2016 et 2017.
«J'ai établi que des membres de l'armée birmane ont commis un génocide et des crimes contre l'humanité contre les Rohingyas en 2016 et 2017», a déclaré à Washington le secrétaire d'État américain Antony Blinken.
RFI
«J'ai établi que des membres de l'armée birmane ont commis un génocide et des crimes contre l'humanité contre les Rohingyas en 2016 et 2017», a déclaré à Washington le secrétaire d'État américain Antony Blinken.
RFI