Selon le président de la Confédération africaine de football (Caf), Ahmad Ahmad, les violences qui font fait un mort et une quarantaine de blessés à Antananarivo, avant Madagascar-Sénégal (2-2), sont dues à une organisation défaillante, mais à un déficit d’infrastructures sportives adaptées.
«On a un grand problème : c’est vrai, il y a des violences mais il faut accepter aussi que le football prend de l’ampleur. Et, on n’a pas assez d’infrastructures pour l’accueillir», admet Ahmad, ce mardi, dans les locaux de la Tfm, lors d’une rencontre avec le Pca du Groupe futurs médias, Youssou Ndour.
Le patron du football africain ajoute : «Dès fois, il y a des matches qui incitent les gens à venir.
A Madagascar dernièrement, les gens veulent voir Sadio Mané, c’est sûr. Or, on n’a pas mis en place des infrastructures qui peuvent accueillir ce genre de foules énormes. De l’autre côté, l’organisation évidemment a fait défaut. Nous essayons de remédier à tous ces genres de problèmes.»
Seneweb
«On a un grand problème : c’est vrai, il y a des violences mais il faut accepter aussi que le football prend de l’ampleur. Et, on n’a pas assez d’infrastructures pour l’accueillir», admet Ahmad, ce mardi, dans les locaux de la Tfm, lors d’une rencontre avec le Pca du Groupe futurs médias, Youssou Ndour.
Le patron du football africain ajoute : «Dès fois, il y a des matches qui incitent les gens à venir.
A Madagascar dernièrement, les gens veulent voir Sadio Mané, c’est sûr. Or, on n’a pas mis en place des infrastructures qui peuvent accueillir ce genre de foules énormes. De l’autre côté, l’organisation évidemment a fait défaut. Nous essayons de remédier à tous ces genres de problèmes.»
Seneweb