En plus des mesures d’urgence préconisées, consistant au dragage et au balisage de la bêche, une étude intégrale sera faite pour déterminer le modèle mathématique de stabilisation du canal, a renseigné la directrice de l'Agence nationale des Affaires maritimes (ANAM) lors du CRD sur la sécurisation de cette issue fluviomaritime.
Ndéye Tické Ndiaye DIOP qui faisait une présentation en marge de cette rencontre signale que des travaux de stabilisation ne devront pas être lancés avant le rapport final de l’étude intégrale.
« Cette étude est en cours dans le cadre du PROGEP, avec l’Agence de Développement municipal (ADM), membre de l’Unité de coordination sur la Brèche », a-t-elle dit.
Cette recherche devrait offrir « une solution durable et définitive à l’image des techniques connues à travers le monde et adaptées aux conditions locales ».
Elle va consister à « ouvrir un canal de délestage au sud de l’embouchure pour créer un appel d’eau pouvant entraîner la fermeture de la brèche de 2003 » et « construire une digue et recharger en sable la brèche, après délimitation du chenal navigable », a-t-elle indiqué.
Les travaux de balisage que devront être mis à la charge de la Société marocaine de Génie civil (SOMAGEC) se fera sur la base de la recommandation des hollandais ROYAL HASKONING (RH), et sur la base du rapport de INROS LACKNER ayant évalué les quantités à draguer après la réalisation d’un sondage bathymétrique. C’est d’ailleurs la SOMAGEC qui avait creusé la brèche en 2003.
NDARINFO.COM
Ndéye Tické Ndiaye DIOP qui faisait une présentation en marge de cette rencontre signale que des travaux de stabilisation ne devront pas être lancés avant le rapport final de l’étude intégrale.
« Cette étude est en cours dans le cadre du PROGEP, avec l’Agence de Développement municipal (ADM), membre de l’Unité de coordination sur la Brèche », a-t-elle dit.
Cette recherche devrait offrir « une solution durable et définitive à l’image des techniques connues à travers le monde et adaptées aux conditions locales ».
Elle va consister à « ouvrir un canal de délestage au sud de l’embouchure pour créer un appel d’eau pouvant entraîner la fermeture de la brèche de 2003 » et « construire une digue et recharger en sable la brèche, après délimitation du chenal navigable », a-t-elle indiqué.
Les travaux de balisage que devront être mis à la charge de la Société marocaine de Génie civil (SOMAGEC) se fera sur la base de la recommandation des hollandais ROYAL HASKONING (RH), et sur la base du rapport de INROS LACKNER ayant évalué les quantités à draguer après la réalisation d’un sondage bathymétrique. C’est d’ailleurs la SOMAGEC qui avait creusé la brèche en 2003.
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