Un atelier national de lancement de la cartographie de la vulnérabilité du littoral et de validation d’un plan de protection contre la pollution marine et terrestre s’est ouvert mardi à Dakar.
Différentes autorités de l’administration des régions du littoral, notamment Dakar, Saint Louis, Thiès, Ziguinchor, des parties prenantes aux activités économiques maritimes, et de structures en charge de la protection de l’environnement participent à cette rencontre.
Elle est à l’initiative de la Haute autorité chargée de la coordination de la sécurité maritime, de la sureté maritime et de la protection de l’environnement marin (HASSMAR).
L’atelier étalé sur trois jours (24, 25,26 aout) devrait permettre ’’l’élaboration d’une riposte appropriée face à l’imminence de l’exploitation pétrolière et gazière et ainsi renforcer dispositif national de lutte contre la pollution marine et côtière suite à des déversements d’hydrocarbures’’, a expliqué le secrétaire général de la HASSMAR, le capitaine de vaisseau, Abdou Sène.
Il s’agit d’un nouveau mécanisme normatif venant en appoint au Plan Polmar qui ne prenait en charge que les pollutions en haute mer, ’’pour une meilleure prise en charge de la problématique de pollution des hydrocarbures Onshore’’ (terme anglais désignant l’exploration, la recherche, un forage, une production à terre ou un gisement de pétrole à terre, par opposition aux exploitations offshore), a fait savoir l’officier de la marine nationale.
Le Plan Polmar-Terre est présenté par ces concepteurs comme ’’un outil d’aide à la décision’’ appelé à, entre autres, permettre ’’d’identifier les risques, mettre en place un dispositif efficace de prévention et de lutte impliquant la synergie de tous les acteurs publics et privés concernés dans la protection, le nettoyage et la restauration d’espaces marins et côtiers’’ , a souligné le capitaine Sène.
De son côté, le chef d’Etat-major de la Marine nationale, le contre-amiral Oumar Wade, a insisté sur ’’la pertinence d’avoir un mécanisme institutionnel de veille et de mise en œuvre d’une gouvernance sécuritaire maritime plus intégrée pour une meilleure prise en charge de l’impact de la pollution marine et côtière’’.
Il a par ailleurs rappelé ’’la position privilégiée’’ du Sénégal dans le peloton de tête des Etats côtiers qui constituent une référence.
La HASSLMAR est une structure rattachée à la présidence de la République, une posture administrative ascendante et transversale lui conférant un rôle stratégique de coordonnateur interministériel de situations d’urgence en mer mais aussi de point focal du gouvernement dans le domaine de l’action de l’Etat en mer, peut-on lire sur son site internet.
APS
Différentes autorités de l’administration des régions du littoral, notamment Dakar, Saint Louis, Thiès, Ziguinchor, des parties prenantes aux activités économiques maritimes, et de structures en charge de la protection de l’environnement participent à cette rencontre.
Elle est à l’initiative de la Haute autorité chargée de la coordination de la sécurité maritime, de la sureté maritime et de la protection de l’environnement marin (HASSMAR).
L’atelier étalé sur trois jours (24, 25,26 aout) devrait permettre ’’l’élaboration d’une riposte appropriée face à l’imminence de l’exploitation pétrolière et gazière et ainsi renforcer dispositif national de lutte contre la pollution marine et côtière suite à des déversements d’hydrocarbures’’, a expliqué le secrétaire général de la HASSMAR, le capitaine de vaisseau, Abdou Sène.
Il s’agit d’un nouveau mécanisme normatif venant en appoint au Plan Polmar qui ne prenait en charge que les pollutions en haute mer, ’’pour une meilleure prise en charge de la problématique de pollution des hydrocarbures Onshore’’ (terme anglais désignant l’exploration, la recherche, un forage, une production à terre ou un gisement de pétrole à terre, par opposition aux exploitations offshore), a fait savoir l’officier de la marine nationale.
Le Plan Polmar-Terre est présenté par ces concepteurs comme ’’un outil d’aide à la décision’’ appelé à, entre autres, permettre ’’d’identifier les risques, mettre en place un dispositif efficace de prévention et de lutte impliquant la synergie de tous les acteurs publics et privés concernés dans la protection, le nettoyage et la restauration d’espaces marins et côtiers’’ , a souligné le capitaine Sène.
De son côté, le chef d’Etat-major de la Marine nationale, le contre-amiral Oumar Wade, a insisté sur ’’la pertinence d’avoir un mécanisme institutionnel de veille et de mise en œuvre d’une gouvernance sécuritaire maritime plus intégrée pour une meilleure prise en charge de l’impact de la pollution marine et côtière’’.
Il a par ailleurs rappelé ’’la position privilégiée’’ du Sénégal dans le peloton de tête des Etats côtiers qui constituent une référence.
La HASSLMAR est une structure rattachée à la présidence de la République, une posture administrative ascendante et transversale lui conférant un rôle stratégique de coordonnateur interministériel de situations d’urgence en mer mais aussi de point focal du gouvernement dans le domaine de l’action de l’Etat en mer, peut-on lire sur son site internet.
APS