Un chargé de mission au Ministère mauritanien des Relations avec le Parlement et de la Société Civile, Ahmed Issa Elyedaly, remet en cause le professionnalisme de RFI, Radio France Internationale.
Sur sa page facebook, Ahmed Issa Elyedaly fait d’abord cette comparaison:
En évoquant les amendements constitutionnels en Côte d’Ivoire, RFI n’a cité que la création d’un Sénat et d’un poste de vice-président. Elle a ignoré les ambitions de Ouattara de rester plus longtemps au pouvoir.
En parlant de la marche de l’opposition en Mauritanie, RFI a dit que c’était pour barrer la route à un 3e mandat en faveur du président Aziz. Cela, malgré que les réformes constitutionnelles ne comprennent aucune modification des articles relatifs aux mandats présidentiels. Et que le président mauritanien lui-même a réaffirmé son engagement de ne pas modifier les articles verrouillés.
Ahmed Issa Elyedaly termine ensuite sa comparaison par dire : « C’est ça le professionnalisme de RFI ».
L’officiel mauritanien s’interroge aussi sur les intentions de la France en Mauritanie en revenant sur un récent communiqué de l’Ambassade de France en Nouakchott après l’agression d’une ressortissante française: « L’ambassade de France à Nouakchott parle d’aggravation de la délinquance dans la zone comprise entre Soukouk et la route de Nouadhibou en raison d’un incident isolé ».
Ahmed Issa Elyedaly estime encore que le Ministère français des Affaires étrangères «persiste en continuant de placer plusieurs parties du territoire mauritanien dans la zone rouge. Cela, malgré que les Français eux-mêmes reconnaissent l’efficacité des mesures de sécurité prises par le gouvernement mauritanien et qu’aucun acte terroriste n’a été enregistré depuis 2011» dans le pays.
CRIDEM.ORG
Sur sa page facebook, Ahmed Issa Elyedaly fait d’abord cette comparaison:
En évoquant les amendements constitutionnels en Côte d’Ivoire, RFI n’a cité que la création d’un Sénat et d’un poste de vice-président. Elle a ignoré les ambitions de Ouattara de rester plus longtemps au pouvoir.
En parlant de la marche de l’opposition en Mauritanie, RFI a dit que c’était pour barrer la route à un 3e mandat en faveur du président Aziz. Cela, malgré que les réformes constitutionnelles ne comprennent aucune modification des articles relatifs aux mandats présidentiels. Et que le président mauritanien lui-même a réaffirmé son engagement de ne pas modifier les articles verrouillés.
Ahmed Issa Elyedaly termine ensuite sa comparaison par dire : « C’est ça le professionnalisme de RFI ».
L’officiel mauritanien s’interroge aussi sur les intentions de la France en Mauritanie en revenant sur un récent communiqué de l’Ambassade de France en Nouakchott après l’agression d’une ressortissante française: « L’ambassade de France à Nouakchott parle d’aggravation de la délinquance dans la zone comprise entre Soukouk et la route de Nouadhibou en raison d’un incident isolé ».
Ahmed Issa Elyedaly estime encore que le Ministère français des Affaires étrangères «persiste en continuant de placer plusieurs parties du territoire mauritanien dans la zone rouge. Cela, malgré que les Français eux-mêmes reconnaissent l’efficacité des mesures de sécurité prises par le gouvernement mauritanien et qu’aucun acte terroriste n’a été enregistré depuis 2011» dans le pays.
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