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A la tête du Soumba FC, un club que dirige actuellement le coach Rawane Mbaye, Abdou Wahab Bengeloune est un passionné du foot qui n’a jamais pensé à devenir acteur. Il raconte comment il est devenu president du Soumba FC. « La providence, j’ai toujours suivi l’actualité du foot sans jamais penser à en être un acteur.
Un jour je rencontre le président Antonio dans l’avion et j’ai vu le pin de la CAF sur son costume, j’ai commencé à aborder le sujet avec lui et la il me dit « mais mon neveu pourquoi tu ne prendrais pas un club de ligue 2 par exemple ? ».
Alors, comme le hasard sait bien faire les choses, un ami fils d’un haut fonctionnaire guinéen qui deviendra plus tard notre S/G me propose de rencontrer la préfecture en vue de reprendre le club car il cherchait un repreneur capable de faire jouer le club dans l’élite guinéenne.
Au final comme toujours quand on est ambitieux, on y arrive toujours. Je pars du principe qu’il faut toujours mettre la barre au dessus de ses limites théoriques et essayer de la franchir. Quand on y arrive pas c’est souvent la technique qui n’est pas la bonne ou qu’on a omis de prendre en compte un facteur déterminant », confie t-il au journal L’Observateur.
En tant que sénégalais, il a décidé de diriger un club guinéen plutôt que de venir investir dans le football sénégalais. Ainsi Abdou Wahab estime que c’est la Guinée qui lui a permis de pouvoir diriger un club.
« D’abord parce que c’est la Guinée qui m’a offert cette opportunité et ensuite je dois au moins ça à la Guinée. Voici un grand pays d’afrique, les gens y sont très accueillant, je me suis jamais senti étranger dans ce pays même si je ne parle pas les langues locales. J’en profite pour remercier les guinéens de leur hospitalité et leur gentillesse ».
Se rappelant de la CAN 86 au Caire avec les légendes du football sénégalais comme Bocande, Cheikh Seck, ect, Abdou Wahab a aussi évoqué ses relations avec le sport, le football en particulier et du mouvement navetane.
« Comme tous les jeunes de mon âge mon premier grand évènement sportif la CAN86 en Egypte avec les Bocandé (PASA), Cheikh Seck, Youm etc pour ne citer que ceci. J’ai collectionné les albums panini à l’époque pour avoir les photos de chaque joueur, déjà à l’époque les 2 équipes africaines partageaient ensemble une double page que normalement une équipe européenne occupait seule.
Les matchs de navétanes à Saint Louis d’abord avec le CCC de Corniche, nous avons grandi dans ce milieu des années 80. Mon père a été dirigeant de foot aussi, quelque part je peux dire que je suis tombé dans la soupe quand j’étais petit comme Obélix (rire). Si je devrais juste vous dire tout ce qui m’a motivé, on risque de rester des heures dessus tellement que les souvenirs sont remplis dans ma tête et que je les partage pour sur avec tous les jeunes de ma génération ».
Dans le futur, il ne souhaite pas manager un club sénégalais mais n’exclut pas l’idée d’investir dans un club sénégalais.
« Manager non mais si vous me dites si j’ai un projet pour investir je dirais ; Oui bien sur, mais ça demande beaucoup de moyens, mais si Dieu me prête la vie et la santé je pense un jour m’investir dans un club du championnat. Ma préférence pour la Linguère est tout à fait naturelle car venant de Saint Louis. Mais entre nous ce club est déjà bien géré avec le Président Dia avec qui j’échange de temps à autre.
Mais aujourd'hui voir un club aussi mythique que la Jeanne D’arc de Dakar même si je suis jarafman quand j’étais jeune me fais trop mal. Et donc oui si je devrais vraiment aider un club hormis saint louis j’irais pour la J.A. Concernant le championnat navétane, évidemment mon cœur penche pour Diamalaye 2 de Yoff et le CCC de saint louis aussi. J’ai décidé désormais de participer chaque année à leur budget désormais ».
Un jour je rencontre le président Antonio dans l’avion et j’ai vu le pin de la CAF sur son costume, j’ai commencé à aborder le sujet avec lui et la il me dit « mais mon neveu pourquoi tu ne prendrais pas un club de ligue 2 par exemple ? ».
Alors, comme le hasard sait bien faire les choses, un ami fils d’un haut fonctionnaire guinéen qui deviendra plus tard notre S/G me propose de rencontrer la préfecture en vue de reprendre le club car il cherchait un repreneur capable de faire jouer le club dans l’élite guinéenne.
Au final comme toujours quand on est ambitieux, on y arrive toujours. Je pars du principe qu’il faut toujours mettre la barre au dessus de ses limites théoriques et essayer de la franchir. Quand on y arrive pas c’est souvent la technique qui n’est pas la bonne ou qu’on a omis de prendre en compte un facteur déterminant », confie t-il au journal L’Observateur.
En tant que sénégalais, il a décidé de diriger un club guinéen plutôt que de venir investir dans le football sénégalais. Ainsi Abdou Wahab estime que c’est la Guinée qui lui a permis de pouvoir diriger un club.
« D’abord parce que c’est la Guinée qui m’a offert cette opportunité et ensuite je dois au moins ça à la Guinée. Voici un grand pays d’afrique, les gens y sont très accueillant, je me suis jamais senti étranger dans ce pays même si je ne parle pas les langues locales. J’en profite pour remercier les guinéens de leur hospitalité et leur gentillesse ».
Se rappelant de la CAN 86 au Caire avec les légendes du football sénégalais comme Bocande, Cheikh Seck, ect, Abdou Wahab a aussi évoqué ses relations avec le sport, le football en particulier et du mouvement navetane.
« Comme tous les jeunes de mon âge mon premier grand évènement sportif la CAN86 en Egypte avec les Bocandé (PASA), Cheikh Seck, Youm etc pour ne citer que ceci. J’ai collectionné les albums panini à l’époque pour avoir les photos de chaque joueur, déjà à l’époque les 2 équipes africaines partageaient ensemble une double page que normalement une équipe européenne occupait seule.
Les matchs de navétanes à Saint Louis d’abord avec le CCC de Corniche, nous avons grandi dans ce milieu des années 80. Mon père a été dirigeant de foot aussi, quelque part je peux dire que je suis tombé dans la soupe quand j’étais petit comme Obélix (rire). Si je devrais juste vous dire tout ce qui m’a motivé, on risque de rester des heures dessus tellement que les souvenirs sont remplis dans ma tête et que je les partage pour sur avec tous les jeunes de ma génération ».
Dans le futur, il ne souhaite pas manager un club sénégalais mais n’exclut pas l’idée d’investir dans un club sénégalais.
« Manager non mais si vous me dites si j’ai un projet pour investir je dirais ; Oui bien sur, mais ça demande beaucoup de moyens, mais si Dieu me prête la vie et la santé je pense un jour m’investir dans un club du championnat. Ma préférence pour la Linguère est tout à fait naturelle car venant de Saint Louis. Mais entre nous ce club est déjà bien géré avec le Président Dia avec qui j’échange de temps à autre.
Mais aujourd'hui voir un club aussi mythique que la Jeanne D’arc de Dakar même si je suis jarafman quand j’étais jeune me fais trop mal. Et donc oui si je devrais vraiment aider un club hormis saint louis j’irais pour la J.A. Concernant le championnat navétane, évidemment mon cœur penche pour Diamalaye 2 de Yoff et le CCC de saint louis aussi. J’ai décidé désormais de participer chaque année à leur budget désormais ».
Source : wiwsport.com
