
Des grincements de dents s’amplifient, de plus en plus au Centre Régional des Œuvres universitaires( CROUS), chez certains travailleurs, en colère contre une « suspecte léthargie» des délégués du personnel.
Les représentants des travailleurs sont notamment accusés d’entretenir des affinités poussées avec l’administration au point d’endormir le mouvement syndical, jadis actif et bouillonnant.
En effet, depuis plus de 5 ans, les élections de représentativités des délégués du personnel n’ont pas été tenues au sein de l’institution alors que les textes stipulent l’organisation des renouvellements tous les 3 ans, en présence de la direction et de l’inspection du travail.
Pour Masseck NGOM, le secrétaire général du Syndicat des travailleurs de l'université de Saint-Louis (SYNTUS), la non-organisation des élections n’est pas une violation des textes, et n’est pas le signe d’irrégularités ou de connivence avec l’équipe d’Ibrahima DIAO.
« Si nous ne sentons pas la nécessité de tenir des élections, nous pouvons simplement maintenir les délégués », a-t-il précisé.
« Si l’entreprise marche convenablement et que les doléances des travailleurs sont correctement prises en charge, le mandant des délégués continue », a-t-il ajouté.
Soutenant que les supputations négatives sur la marche des syndicats sont l’œuvre de « frustrés », M. NGOM soutient que son camarade Birima NDIAYE et lui n’ont pas « peur » d’aller au scrutin. « La majorité des travailleurs sont avec nous », a-t-il conclu.
NDARINFO.COM
Les représentants des travailleurs sont notamment accusés d’entretenir des affinités poussées avec l’administration au point d’endormir le mouvement syndical, jadis actif et bouillonnant.
En effet, depuis plus de 5 ans, les élections de représentativités des délégués du personnel n’ont pas été tenues au sein de l’institution alors que les textes stipulent l’organisation des renouvellements tous les 3 ans, en présence de la direction et de l’inspection du travail.
Pour Masseck NGOM, le secrétaire général du Syndicat des travailleurs de l'université de Saint-Louis (SYNTUS), la non-organisation des élections n’est pas une violation des textes, et n’est pas le signe d’irrégularités ou de connivence avec l’équipe d’Ibrahima DIAO.
« Si nous ne sentons pas la nécessité de tenir des élections, nous pouvons simplement maintenir les délégués », a-t-il précisé.
« Si l’entreprise marche convenablement et que les doléances des travailleurs sont correctement prises en charge, le mandant des délégués continue », a-t-il ajouté.
Soutenant que les supputations négatives sur la marche des syndicats sont l’œuvre de « frustrés », M. NGOM soutient que son camarade Birima NDIAYE et lui n’ont pas « peur » d’aller au scrutin. « La majorité des travailleurs sont avec nous », a-t-il conclu.
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