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Images archives NdarInfo
L’Université Gaston Berger de Saint-Louis roule au rythme de dysfonctionnements inquiétants qui, non résolus à temps, risquent d’entachent l’image de temple apaisé de quête du Savoir dont elle se réclame à souhait.
Les failles du dialogue social sont désormais flagrantes et se traduisent par les mouvements de grèves sporadiques que se partagent, à tour de rôle, étudiants et corps professoral.
Tiraillements entre représentations syndicales et ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche par là, malentendus entre collectifs d’étudiants et autorités du Rectorat ou du Centre régional des Oeuvres Universitaires de Saint-Louis (Crous), la succession d’évènements « malheureux » s’accélère après la tenue, pourtant, il y a quelques jours, de la célébration des 25 ans de l’Université.
L’on se demande alors si dans la capitalisation des expériences positives acquises par l’institution universitaire depuis sa création, les bonnes pratiques de l’UGB en matière de dialogue social ont été recueillies et mises en oeuvre.
Les suspicions entre entités en bataille, loin d'une confiance réciproque, la méfiance commune qui sévit, exige un recadrage profond dans la gouvernance de l’Université tant au niveau pédagogique qu’au niveau social.
Ce vendredi, l’UGB a encore souffert dans sa moelle par des courses poursuites entre étudiants et forces de l’ordre dans le campus social. Une scène inédite comme celle offerte par la Comsoc en refusant de payer les tickets des restaurants. Une violation de la franchise universitaire, des tirs de lacrymogènes et des jets de pierres, des arrestations de délégués et d'étudiants par des gendarmes, seront suivis d'une grève illimitée. Une piètre image qui prouve l’exigence d'une concertation franche et intelligente est tenace.
NDARINFO.COM
Les failles du dialogue social sont désormais flagrantes et se traduisent par les mouvements de grèves sporadiques que se partagent, à tour de rôle, étudiants et corps professoral.
Tiraillements entre représentations syndicales et ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche par là, malentendus entre collectifs d’étudiants et autorités du Rectorat ou du Centre régional des Oeuvres Universitaires de Saint-Louis (Crous), la succession d’évènements « malheureux » s’accélère après la tenue, pourtant, il y a quelques jours, de la célébration des 25 ans de l’Université.
L’on se demande alors si dans la capitalisation des expériences positives acquises par l’institution universitaire depuis sa création, les bonnes pratiques de l’UGB en matière de dialogue social ont été recueillies et mises en oeuvre.
Les suspicions entre entités en bataille, loin d'une confiance réciproque, la méfiance commune qui sévit, exige un recadrage profond dans la gouvernance de l’Université tant au niveau pédagogique qu’au niveau social.
Ce vendredi, l’UGB a encore souffert dans sa moelle par des courses poursuites entre étudiants et forces de l’ordre dans le campus social. Une scène inédite comme celle offerte par la Comsoc en refusant de payer les tickets des restaurants. Une violation de la franchise universitaire, des tirs de lacrymogènes et des jets de pierres, des arrestations de délégués et d'étudiants par des gendarmes, seront suivis d'une grève illimitée. Une piètre image qui prouve l’exigence d'une concertation franche et intelligente est tenace.
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