
La CESL, en grève depuis quelques jours, s’offusque contre le retard accusé dans le démarrage de travaux de construction des 2000 lits. Ce programme annoncé par le Ministère pour apaiser les affres que subissent leurs camarades, suscitait beaucoup d’espoir dans la classe estudiantine.
Les Sanarois semblent ne pas se réjouir des mesures palliatives en vigueur et des 100 modules. Ils exigent des solutions définitives au problème de l’hébergement.
« Il faut que les travaux démarrent en ce mois de janvier pour qu’ils puissent terminer en décembre 2016 et permettre aux nouveaux bacheliers de 2016 de se loger sans contraintes », a déclaré Daouda MBAYE, le Président de séance de la CESL.
Ce dernier, très remonté contre M. BA qu’il accuse d’avoir minimisé leur mouvement, annonce la radicalisation et le renforcement de la contestation estudiantine.
« Nous allons envoyer nos camarades en vacances jusqu’à ce que le projet démarre effectivement avec une mobilise de toutes les ressources pour la construction des 2.000 lits », a crié M. MBAYE dans un entretien avec NdarInfo.
Il ont dénoncé, en outre, la position attentiste des autorités de l'UGB, du CROUS et de l’enseignement supérieur qui n’ont daigné réagir qu’après l’annonce de la grève: Ils ont en fustigé, par ailleurs, la livraison de blocs de 100 modules alors que 200 ont été exigés par ses camarades.
En marge de leur Assemblée générale d’hier, au cours de laquelle, des Journées sans Tickets ont été décrétées jusqu’au paiement de leurs bourses, ils annoncé le rapport du démarrage de l’année académique 2015/2016.
Il faut rappeler que cette grève ajoutée à celle des enseignants membres du Syndicat autonome des Enseignants du Supérieur (SAES) paralyse l’Université Gaston Berger.
NDARINFO
Les Sanarois semblent ne pas se réjouir des mesures palliatives en vigueur et des 100 modules. Ils exigent des solutions définitives au problème de l’hébergement.
« Il faut que les travaux démarrent en ce mois de janvier pour qu’ils puissent terminer en décembre 2016 et permettre aux nouveaux bacheliers de 2016 de se loger sans contraintes », a déclaré Daouda MBAYE, le Président de séance de la CESL.
Ce dernier, très remonté contre M. BA qu’il accuse d’avoir minimisé leur mouvement, annonce la radicalisation et le renforcement de la contestation estudiantine.
« Nous allons envoyer nos camarades en vacances jusqu’à ce que le projet démarre effectivement avec une mobilise de toutes les ressources pour la construction des 2.000 lits », a crié M. MBAYE dans un entretien avec NdarInfo.
Il ont dénoncé, en outre, la position attentiste des autorités de l'UGB, du CROUS et de l’enseignement supérieur qui n’ont daigné réagir qu’après l’annonce de la grève: Ils ont en fustigé, par ailleurs, la livraison de blocs de 100 modules alors que 200 ont été exigés par ses camarades.
En marge de leur Assemblée générale d’hier, au cours de laquelle, des Journées sans Tickets ont été décrétées jusqu’au paiement de leurs bourses, ils annoncé le rapport du démarrage de l’année académique 2015/2016.
Il faut rappeler que cette grève ajoutée à celle des enseignants membres du Syndicat autonome des Enseignants du Supérieur (SAES) paralyse l’Université Gaston Berger.
NDARINFO