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C’est une vive colère au sein de l’UFR des Sciences Juridiques et Politiques (Sjp) suite à la décision de l’administration d’exiger en plus droits d’inscription, d’autres frais pour les masters professionnels.
« Nous sommes catégoriques. Nous n’accepterons pas que des étudiants qui ont suivi un régime présentiel depuis tout leur cursus, paient cet argent », soutient Alioune Badara DIOP, président du collectif des délégués de l’UFR Sciences Juridiques et Politiques.
Par ailleurs, la réforme sur les contrôles des étudiants avec 40% pour les devoirs continus et 60% pour les examens, suscite l’indignation.
Le collectif des délégués fustige la procédure ayant abouti à la nouvelle règlementation, en estimant que cette décision devrait être prise au sein du conseil d’UFR qui, selon l'étudiant DIOP, en la totale compétence.
« Les textes ne donnent la compétence à une instance outre que le Conseil de l’UFR de prendre une telle mesure », soutient-il, en indiquant que " tant que cela ne sera pas fait, nous ne rejoindrons pas les amphis".
NDARINFO.COM
« Nous sommes catégoriques. Nous n’accepterons pas que des étudiants qui ont suivi un régime présentiel depuis tout leur cursus, paient cet argent », soutient Alioune Badara DIOP, président du collectif des délégués de l’UFR Sciences Juridiques et Politiques.
Par ailleurs, la réforme sur les contrôles des étudiants avec 40% pour les devoirs continus et 60% pour les examens, suscite l’indignation.
Le collectif des délégués fustige la procédure ayant abouti à la nouvelle règlementation, en estimant que cette décision devrait être prise au sein du conseil d’UFR qui, selon l'étudiant DIOP, en la totale compétence.
« Les textes ne donnent la compétence à une instance outre que le Conseil de l’UFR de prendre une telle mesure », soutient-il, en indiquant que " tant que cela ne sera pas fait, nous ne rejoindrons pas les amphis".
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