« Ce matin, lorsque j'ai aperçu le Président de la CESL descendre du véhicule de la gendarmerie avec ses lunettes noires et son boubou marron, menotté et escorté comme un Criminel avec nos autres Camarades, j'ai eu les larmes aux yeux. Je ne pleurais pas seulement parce que mes représentants ont été victimes d'une flagrante injustice, mais aussi parce que j'ai pensé à mon pays qui veut devenir émergent en réprimant, maltraitant, torturant, voire en assassinant sa jeunesse, son intelligentsia, ceux qui sont appelés à le diriger.
Au lieu de la chérir, le Sénégal préfère persécuter sa future élite.
Au lieu d'encourager ses intellectuels, le Sénégal préfère utiliser tous les moyens, même illégaux, pour les décourager, les démotiver à telle enseigne qu'ils soient les plus pessimistes. Au lieu de les protéger, le Sénégal préfère assassiner Bassirou Faye, Balla Gaye, etc.
Dans ces conditions, le développement sera encore et toujours une illusion de tous les jours », pense l'étudiant Adama Daouda BA.
NDARINFO
Au lieu de la chérir, le Sénégal préfère persécuter sa future élite.
Au lieu d'encourager ses intellectuels, le Sénégal préfère utiliser tous les moyens, même illégaux, pour les décourager, les démotiver à telle enseigne qu'ils soient les plus pessimistes. Au lieu de les protéger, le Sénégal préfère assassiner Bassirou Faye, Balla Gaye, etc.
Dans ces conditions, le développement sera encore et toujours une illusion de tous les jours », pense l'étudiant Adama Daouda BA.
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