La communauté économique des états de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) a décidé de dépêcher trois chefs d’état à Bamako pour faire pression sur les autorités militaires maliennes afin de libérer les 46 soldats ivoiriens encore détenus au mali, alors que Bamako exige pour cette libération qu’Abidjan lui livre des opposants.
Cette annonce a été faite dans un communiqué sanctionnant un sommet extraordinaire de l’organisation qui s’est tenu jeudi soir à New York en marge de la 77ème assemblée générale des nations unies.
La CEDEAO a annoncé l’envoi de trois chefs d’état, le sénégalais Macky Sall, le ghanéen Nana Akuffo Ado et le togolais Faure Gnassingbé pour tenter d’obtenir la libération des soldats ivoiriens. Ces trois présidents sont attendus mardi prochain à Bamako.
La CEDEAO qui a inscrit cette question à son ordre du jour à la demande de la Côte d’Ivoire, a condamné la provocation malienne dans cette affaire et l’emprisonnement des soldats ivoiriens dont elle a demandé la libération immédiate et sans conditions.
Dans un communiqué publié la semaine dernière le Mali a rejeté le recours de la Côte d’Ivoire à la CEDEAO considérant qu’elle n’était pas concerné par cela ni par ce qu’elle décidera.
Il a insisté, dans son communiqué, sur le fait que cette question ne concerne que les deux pays, ajoutant qu’Abidjan tente de transformer un problème judiciaire à une crise diplomatique.
L’arrestation par le Mali, le 10 juillet dernier, de 49 soldats ivoiriens dont il a libéré trois femmes pour des raisons humanitaires, avait créé une crise diplomatique entre Bamako et Abidjan, alors que cette dernière affirme que ses soldats sont entrés de manière légale au Mali, rejetant l’accusation des autorités maliennes qui parlent de « mercenaires venus pour troubler la sécurité du pays. »
Cette annonce a été faite dans un communiqué sanctionnant un sommet extraordinaire de l’organisation qui s’est tenu jeudi soir à New York en marge de la 77ème assemblée générale des nations unies.
La CEDEAO a annoncé l’envoi de trois chefs d’état, le sénégalais Macky Sall, le ghanéen Nana Akuffo Ado et le togolais Faure Gnassingbé pour tenter d’obtenir la libération des soldats ivoiriens. Ces trois présidents sont attendus mardi prochain à Bamako.
La CEDEAO qui a inscrit cette question à son ordre du jour à la demande de la Côte d’Ivoire, a condamné la provocation malienne dans cette affaire et l’emprisonnement des soldats ivoiriens dont elle a demandé la libération immédiate et sans conditions.
Dans un communiqué publié la semaine dernière le Mali a rejeté le recours de la Côte d’Ivoire à la CEDEAO considérant qu’elle n’était pas concerné par cela ni par ce qu’elle décidera.
Il a insisté, dans son communiqué, sur le fait que cette question ne concerne que les deux pays, ajoutant qu’Abidjan tente de transformer un problème judiciaire à une crise diplomatique.
L’arrestation par le Mali, le 10 juillet dernier, de 49 soldats ivoiriens dont il a libéré trois femmes pour des raisons humanitaires, avait créé une crise diplomatique entre Bamako et Abidjan, alors que cette dernière affirme que ses soldats sont entrés de manière légale au Mali, rejetant l’accusation des autorités maliennes qui parlent de « mercenaires venus pour troubler la sécurité du pays. »