Comment avez-vous reçu votre nomination comme nouveau directeur du CCAR ?
Avec de beaucoup de satisfaction parce que il n y ' a jamais eu directeur natif de Saint-Louis. Je suis saint-louisien et j’habite au quartier Sindoné. Ma nomination a beaucoup interpellé ma conscience en termes de défis. L’avantage, c’est que j’ai une connaissance du terrain et des acteurs, ce qui peut me faciliter le travail. J’essaierais d’apporter un plus à ma ville où le champ culturel est extrêmement riche. C’est le défi d’un fils du terroir qui ne ménagera aucun effort pour remplir sa mission.
Quels sont vos objectifs et comment pensez-vous y prendre?
Nous sommes dans un chantier très important du ministère de la culture et nous voulons que Saint-Louis en profite pleinement. Nous allons bientôt dérouler un programme de promotion diversité culturelle. Un vaste chantier qui nous permettra de répertorier les produits culturels les plus représentatifs de la ville. Il y a déjà un cadre de concertation mis sur pied par la mairie mais nous irons loin en créant un haut conseil culturel qui va regrouper les différentes filières. Ainsi, les artistes eux-mêmes définiront en collaboration avec le centre, le programme approprié à exécuter. Chaque secteur (littérature, danse, théâtre) aura au moins une activité phare dans l’année.
Le 17 mai, démarrage de ce programme coïncidera avec la tenue de la 21ème édition du festival international de jazz de Saint-Louis, ce sera un moment privilégié de rencontres et d’échanges entre les acteurs culturels. Nous comptons sur ce moment d’ébullition pour organiser avec l’association Saint-Louis Jazz, le programme diversité culturelle, trouver une articulation correcte et instaurer la concertation entre les acteurs.
Pouvez-vous revenir sur votre cursus ?
J’ai obtenu un bac A. Ce qu’il faut retenir, c’est que je suis l’un des rares animateurs culturels détachés au Centre Africain d’Animation et d’Assistance Culturel dirigé par Mme Aminata Sow Fall. J’ai servi à Ziguinchor et j’ai fait un bref passage au ministère de la culture. J’ai fais une vingtaine d’années au centre culturel de Saint-Louis
Propos recueillis par Cheikh Saad Bou SEYE
Avec de beaucoup de satisfaction parce que il n y ' a jamais eu directeur natif de Saint-Louis. Je suis saint-louisien et j’habite au quartier Sindoné. Ma nomination a beaucoup interpellé ma conscience en termes de défis. L’avantage, c’est que j’ai une connaissance du terrain et des acteurs, ce qui peut me faciliter le travail. J’essaierais d’apporter un plus à ma ville où le champ culturel est extrêmement riche. C’est le défi d’un fils du terroir qui ne ménagera aucun effort pour remplir sa mission.
Quels sont vos objectifs et comment pensez-vous y prendre?
Nous sommes dans un chantier très important du ministère de la culture et nous voulons que Saint-Louis en profite pleinement. Nous allons bientôt dérouler un programme de promotion diversité culturelle. Un vaste chantier qui nous permettra de répertorier les produits culturels les plus représentatifs de la ville. Il y a déjà un cadre de concertation mis sur pied par la mairie mais nous irons loin en créant un haut conseil culturel qui va regrouper les différentes filières. Ainsi, les artistes eux-mêmes définiront en collaboration avec le centre, le programme approprié à exécuter. Chaque secteur (littérature, danse, théâtre) aura au moins une activité phare dans l’année.
Le 17 mai, démarrage de ce programme coïncidera avec la tenue de la 21ème édition du festival international de jazz de Saint-Louis, ce sera un moment privilégié de rencontres et d’échanges entre les acteurs culturels. Nous comptons sur ce moment d’ébullition pour organiser avec l’association Saint-Louis Jazz, le programme diversité culturelle, trouver une articulation correcte et instaurer la concertation entre les acteurs.
Pouvez-vous revenir sur votre cursus ?
J’ai obtenu un bac A. Ce qu’il faut retenir, c’est que je suis l’un des rares animateurs culturels détachés au Centre Africain d’Animation et d’Assistance Culturel dirigé par Mme Aminata Sow Fall. J’ai servi à Ziguinchor et j’ai fait un bref passage au ministère de la culture. J’ai fais une vingtaine d’années au centre culturel de Saint-Louis
Propos recueillis par Cheikh Saad Bou SEYE