Dans la cité de Mame Coumba BANG, se prolifèrent à souhait, des sites d’hébergements personnalisés ou « maisons d’hôtes », malgré la sommation fournie aux clandestins par le Gouverneur Alioune Aidara NIANG, dès son installation.
Une défiance notoire devant l’autorité qui, au-delà du relent d’incivisme qu’il laisse apparaitre, gangrène l’économie de la ville, au profit de petits groupuscules.
En a croire, Ibrahima SARR, le chef de service régional du tourisme de Saint-Louis, « ces établissements ne disposent pas d’autorisations d’exploitation ».
« Le procédé est simple. Ils démarrent par la location, puis, affichent des enseignes sur les bâtiments », renseigne M. SARR. Mieux, « ils ne disposent même pas de certificat de conformité », a-t-il ajouté.
La chute du secteur avec la faible fréquentation des établissements hôteliers en règle fait face à cette concurrence déloyale et des « initiatives clandestines » dangereuses qui s’aggravent dans la ville tricentenaire. Des intérêts individuels menacent des milliers d’emplois.
À cela s’ajoutent la transformation des antiquaires en guides touristiques sans formation préalable et le manque d’unité des acteurs.
Aujourd’hui, l’administration, malgré la flagrance de ces dérives, travaille dans l’accompagnement des acteurs. « Nous les invitons à se formaliser », a, toutefois, indiqué M. SARR.
NDARINFO.COM
Une défiance notoire devant l’autorité qui, au-delà du relent d’incivisme qu’il laisse apparaitre, gangrène l’économie de la ville, au profit de petits groupuscules.
En a croire, Ibrahima SARR, le chef de service régional du tourisme de Saint-Louis, « ces établissements ne disposent pas d’autorisations d’exploitation ».
« Le procédé est simple. Ils démarrent par la location, puis, affichent des enseignes sur les bâtiments », renseigne M. SARR. Mieux, « ils ne disposent même pas de certificat de conformité », a-t-il ajouté.
La chute du secteur avec la faible fréquentation des établissements hôteliers en règle fait face à cette concurrence déloyale et des « initiatives clandestines » dangereuses qui s’aggravent dans la ville tricentenaire. Des intérêts individuels menacent des milliers d’emplois.
À cela s’ajoutent la transformation des antiquaires en guides touristiques sans formation préalable et le manque d’unité des acteurs.
Aujourd’hui, l’administration, malgré la flagrance de ces dérives, travaille dans l’accompagnement des acteurs. « Nous les invitons à se formaliser », a, toutefois, indiqué M. SARR.
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