Le Box reservé à la presse dans la tribune du stade Me Babacar SEYE
Les gesticulations de l’ODCAV et la pression que cette structure tente d’imposer sur l’autorité, ne marcheront pas. Jointe au téléphone, le Préfet Mariama TRAORE indique que la mesure de fermeture sera strictement maintenue pour éviter d’exposer la jeunesse à d’éventuels dangers.
Pour rappel, cette décision a été prise à la suite de l’affaissement d’un « garde-fou » de la tribune ayant fait trois blessés. Curieusement, le dysfonctionnement a été noté auparavant et signalé, sans réaction. Il a fallu que le drame se produise, pour qu’une réhabilitation de cette partie soit faite. Aujourd’hui, malgré la soit-disante réfection, le problème de sécurité publique se pose avec acuité.
Une étude de la direction la protection civile livrée aux autorités avait alors montré l’ampleur du péril et la persistance du danger auquel les jeunes usagers de cette infrastructure seraient exposés, en cas de réouverture.
Mais l’ODCAV veut ignorer l’affaire sans jamais arriver à expliquer les raisons de sa surprenante volte-face.
Il y a quelques jours, il a cherché à pousser l’autorité à se retrancher, en menaçant de boycotter le CDD consacré aux navétanes, sans avoir mené auparavant aucune action de réfection ou de nettoiement des lieux, prouvant sa bonne foi. Son stratagème ne marchant pas, il semble digérer difficilement sa déception.
À Saint-Louis, l’on se questionne surtout sur l’aboutissement des fonds amassés par l’ODCAV durant les navetanes, en plus des participations financières consistantes des parrains aux finales des zones. Les différentes zones versent de l’argent à chaque match, sans constater, en retour, aucune bribe d’actions et d’activités à leur profit. Une nébuleuse savamment orchestrée et conserver qui va exploser dans les jours à venir.
Au lieu d’être, une force positive de proposition pour l’érection d’infrastructures sportives structurantes à Saint-Louis par la réflexion et l’action, l’ODCAV par ses menaces et son manque de mesure, suscite de plus en plus, du dégout et de l’indignation.
Pour rappel, cette décision a été prise à la suite de l’affaissement d’un « garde-fou » de la tribune ayant fait trois blessés. Curieusement, le dysfonctionnement a été noté auparavant et signalé, sans réaction. Il a fallu que le drame se produise, pour qu’une réhabilitation de cette partie soit faite. Aujourd’hui, malgré la soit-disante réfection, le problème de sécurité publique se pose avec acuité.
Une étude de la direction la protection civile livrée aux autorités avait alors montré l’ampleur du péril et la persistance du danger auquel les jeunes usagers de cette infrastructure seraient exposés, en cas de réouverture.
Mais l’ODCAV veut ignorer l’affaire sans jamais arriver à expliquer les raisons de sa surprenante volte-face.
Il y a quelques jours, il a cherché à pousser l’autorité à se retrancher, en menaçant de boycotter le CDD consacré aux navétanes, sans avoir mené auparavant aucune action de réfection ou de nettoiement des lieux, prouvant sa bonne foi. Son stratagème ne marchant pas, il semble digérer difficilement sa déception.
À Saint-Louis, l’on se questionne surtout sur l’aboutissement des fonds amassés par l’ODCAV durant les navetanes, en plus des participations financières consistantes des parrains aux finales des zones. Les différentes zones versent de l’argent à chaque match, sans constater, en retour, aucune bribe d’actions et d’activités à leur profit. Une nébuleuse savamment orchestrée et conserver qui va exploser dans les jours à venir.
Au lieu d’être, une force positive de proposition pour l’érection d’infrastructures sportives structurantes à Saint-Louis par la réflexion et l’action, l’ODCAV par ses menaces et son manque de mesure, suscite de plus en plus, du dégout et de l’indignation.
NDARINFO