Portée par la dimension universelisante de l’art, la Marocaine Soukeina Khalil se passe des frontières en véritable citoyenne du monde, satisfaite de voir sa vie partagée entre Saint-Louis et Casablanca où elle possède ses ateliers et mène ses activités professionnelles.
Soukeina Khalil relève cependant que l’ancienne capitale du Sénégal a pour elle une saveur particulière. "C’est ici que je conçois tout. J’y reviens toujours après mes périples pour repartir", note celle qui confesse "trouver plus facilement son inspiration dans cette vieille ville partagée entre le fleuve et la mer."
Située sur la digue, en face du fleuve Sénégal, sa demeure représente un espace idéal de création d’où sortent des œuvres ensuite exposées par l’artiste aux quatre coins du monde. Jusqu’aux aux Philippines et aux Etats-Unis, précise Soukeina Khalil, présente à Saint-Louis depuis une quinzaine d’années.
C’est que l’artiste marocaine définit son art comme un moyen d’exprimer son amour de l’universel, en partant d’une position personnelle selon laquelle les frontières ne comptent pas. Plus qu’une vue de l’esprit, le concept de village planétaire représente de ce point de vue une réalité qu’elle vit pleinement.
Chez Soukeina qui se dit amoureuse "du sud de tous les suds", se rencontrent des amis et groupes d’artistes venus de tous les continents et reliés par une même passion de l’art et de la musique. Dans la cour de l’artiste, traînent en effet une dizaine de pianos dont les sonorités viennent parfois égayer les discussions.
Céramiste, Soukeina avait pourtant à ses débuts taquiné la chanson avant d’être complètement "possédée" par la peinture. Aujourd’hui, elle enseigne son art à l’école française de Saint-Louis où elle tente de passer aux nouvelles générations son amour du beau.
Pour certains artistes, elle représente une véritable source d’inspiration, de sorte que quand elle n’est pas là, la mélancolie habite quelques uns parmi les gens de l’art.
N’est-ce pas Zoumba qui écrit sur sa page facebook, alors qu’elle se trouvait à Casablanca : "Notre belle muse Soukeina Khalil nous nargue avec ses belles promesses du retour mais mon cœur me dit que son miel ne saura tarder pour sucrer notre quotidien si fade en son absence !"
L’amitié et le renforcement des liens séculaires entre le Sénégal et le Maroc compte aussi énormément pour Soukeina Khalil, qui préside d’ailleurs l’association des Marocains de Saint-Louis.
L’artiste ne manque jamais de se féliciter sur ce plan de la bonne intégration de ses compatriotes, facilitée par l’islam qui a favorisé la rencontre les deux sociétés depuis le 15 e siècle.
APS
Soukeina Khalil relève cependant que l’ancienne capitale du Sénégal a pour elle une saveur particulière. "C’est ici que je conçois tout. J’y reviens toujours après mes périples pour repartir", note celle qui confesse "trouver plus facilement son inspiration dans cette vieille ville partagée entre le fleuve et la mer."
Située sur la digue, en face du fleuve Sénégal, sa demeure représente un espace idéal de création d’où sortent des œuvres ensuite exposées par l’artiste aux quatre coins du monde. Jusqu’aux aux Philippines et aux Etats-Unis, précise Soukeina Khalil, présente à Saint-Louis depuis une quinzaine d’années.
C’est que l’artiste marocaine définit son art comme un moyen d’exprimer son amour de l’universel, en partant d’une position personnelle selon laquelle les frontières ne comptent pas. Plus qu’une vue de l’esprit, le concept de village planétaire représente de ce point de vue une réalité qu’elle vit pleinement.
Chez Soukeina qui se dit amoureuse "du sud de tous les suds", se rencontrent des amis et groupes d’artistes venus de tous les continents et reliés par une même passion de l’art et de la musique. Dans la cour de l’artiste, traînent en effet une dizaine de pianos dont les sonorités viennent parfois égayer les discussions.
Céramiste, Soukeina avait pourtant à ses débuts taquiné la chanson avant d’être complètement "possédée" par la peinture. Aujourd’hui, elle enseigne son art à l’école française de Saint-Louis où elle tente de passer aux nouvelles générations son amour du beau.
Pour certains artistes, elle représente une véritable source d’inspiration, de sorte que quand elle n’est pas là, la mélancolie habite quelques uns parmi les gens de l’art.
N’est-ce pas Zoumba qui écrit sur sa page facebook, alors qu’elle se trouvait à Casablanca : "Notre belle muse Soukeina Khalil nous nargue avec ses belles promesses du retour mais mon cœur me dit que son miel ne saura tarder pour sucrer notre quotidien si fade en son absence !"
L’amitié et le renforcement des liens séculaires entre le Sénégal et le Maroc compte aussi énormément pour Soukeina Khalil, qui préside d’ailleurs l’association des Marocains de Saint-Louis.
L’artiste ne manque jamais de se féliciter sur ce plan de la bonne intégration de ses compatriotes, facilitée par l’islam qui a favorisé la rencontre les deux sociétés depuis le 15 e siècle.
APS