La ministre en charge du Pétrole et des Mines, Sophie Gladima, s’est engagée à soumettre aux autorités mauritaniennes, une demande de création d’une zone commune de pèche où vont s’activer les acteurs des deux pays.
‘’Je vais soumettre la proposition aux autorités mauritaniennes qui sont dans de bonnes dispositions pour discuter avec nous’’, a-t-elle réagi aux interpellations des professionnels de la pêche qui souhaitent l’émegence d’une zone mixte commune pour le partage des ressoueces.
La Mauritanie a augmenté le nombre de licences de pèche accordées aux pêcheurs sénégalais, mais le protocole entre les deux pays exclut trois autres types de pèches pratiqués dans la zone.
Les pêcheurs de Saint-Louis souhaitent la création de cette zone commune à l’image de l’accord liant le pays à la Guinée Bissau. Ils ont exprimé la demande au cours d’un comité régional de développement consacré aux projets gaziers et pétroliers aux larges de saint-Louis.
Sophie Gladima a ainsi rassuré les pécheurs sur la prise en compte de leurs preoccupations en estimant par exemple que les côtes sont plus poissonneuses dans les zones avoisinantes des plateformes pétrolières.
Elle a insisté sur le fait que la Mauritanie est un pays souverain avec lequel il faut négocier pour avoir certaines facilités dans sa zone maritime.
Interpellée sur le choix de Dakar pour abriter la construction des caissons destinées à accueillir la plateforme pour l’exploitation du gaz et du pétrole en haute mer, elle a indiqué qu’il était lié au fait que cela ne pouvait se faire que dans une zone disposant d’un port.
A ce propos Joseph Medou, le directeur de l’exploitation et de la production à Petrosen a avancé l’agitation de la côte saint-louisienne comme un handicap à une telle opération.
Au cous de cette rencontre les participants ont suivi plusieurs communications portant entre autres sur les études environnementales, les projets en cours et les possibilités et offres de formation.
APS
‘’Je vais soumettre la proposition aux autorités mauritaniennes qui sont dans de bonnes dispositions pour discuter avec nous’’, a-t-elle réagi aux interpellations des professionnels de la pêche qui souhaitent l’émegence d’une zone mixte commune pour le partage des ressoueces.
La Mauritanie a augmenté le nombre de licences de pèche accordées aux pêcheurs sénégalais, mais le protocole entre les deux pays exclut trois autres types de pèches pratiqués dans la zone.
Les pêcheurs de Saint-Louis souhaitent la création de cette zone commune à l’image de l’accord liant le pays à la Guinée Bissau. Ils ont exprimé la demande au cours d’un comité régional de développement consacré aux projets gaziers et pétroliers aux larges de saint-Louis.
Sophie Gladima a ainsi rassuré les pécheurs sur la prise en compte de leurs preoccupations en estimant par exemple que les côtes sont plus poissonneuses dans les zones avoisinantes des plateformes pétrolières.
Elle a insisté sur le fait que la Mauritanie est un pays souverain avec lequel il faut négocier pour avoir certaines facilités dans sa zone maritime.
Interpellée sur le choix de Dakar pour abriter la construction des caissons destinées à accueillir la plateforme pour l’exploitation du gaz et du pétrole en haute mer, elle a indiqué qu’il était lié au fait que cela ne pouvait se faire que dans une zone disposant d’un port.
A ce propos Joseph Medou, le directeur de l’exploitation et de la production à Petrosen a avancé l’agitation de la côte saint-louisienne comme un handicap à une telle opération.
Au cous de cette rencontre les participants ont suivi plusieurs communications portant entre autres sur les études environnementales, les projets en cours et les possibilités et offres de formation.
APS