De sa descendance paternelle, Sokhna Baly Mountakha a hérité d’une forte tradition d’érudition. Son père Serigne Souhaibou Mbacke était un érudit. Il est celui que l’on dépeint comme un « gardien de l’orthodoxie mouride ». Le père de Sokhna Baly était connu pour son franc-parler, son objectivité et son respect scrupuleux des prescriptions du Coran et de la tradition authentique.
Dans le sillage de la tradition familiale, Sokhna Baly s’applique et essaie de perpétuer le legs de sa grand-mère, Mame Diarra Bousso.
À côté de Serigne Mountakha, Sokhna Baly n’a qu’un objectif : chercher la grâce de son époux. Sa générosité et sa compréhension de la vie moderne font que le khalife lui a confié les ’’berndés’’ à la résidence Khadim Rassoul. Pendant le Grand Magal, elle s’occupe de la restauration des hôtes de marque du khalife. Avec l’aide de ses proches, elle se démène à la tâche avec conviction mais aussi avec la ferme volonté d’accomplir cette noble mission. Elle ne se voit pas dans les privilèges d’épouse du khalife.
Sokhna Baly a opté pour le ’’terrain’’ du partage. « À l’heure du repas, elle vient dans la cuisine. C’est elle-même qui s’occupe de la distribution des plats. Elle ne peut pas faire autrement. Parce qu’elle a passé son enfance chez Sokhna Mai, fille de Serigne Touba, qui lui a appris les bonnes actions », révèle son neveu, Mountakha Guèye.
Les bonnes œuvres de Sokhna Baly Mbacké ne se limitent pas seulement à Touba. À Porokhane, 2e capitale du mouridisme, sa présence est très marquée. Dans cette cité religieuse, l’épouse du khalife des mourides organise, chaque année, un Magal pour les homonymes de sa grand-mère, Sokhna Diarra. À Porokhane, Sokhna Baly appuie aussi les hôpitaux et les internats.
À Darou Minam, son fief à Touba, Sokhna Baly Mountakha est bien appréciée. Pas de difficulté pour retrouver sa grande bâtisse, nichée derrière la grande mosquée du quartier. En cette période de Magal, la maison ne désemplit pas. Même des nécessiteux profitent de l’évènement pour visiter sa cuisine et se procurer de la nourriture. « Sokhna Baly est une référence. Elle inspire. Sa présence aux côtés du khalife est comparable à celle de Cheikh Ibra Fall aux côtés de Serigne Touba », renseigne Mountakha Guèye.
Dans le sillage de la tradition familiale, Sokhna Baly s’applique et essaie de perpétuer le legs de sa grand-mère, Mame Diarra Bousso.
À côté de Serigne Mountakha, Sokhna Baly n’a qu’un objectif : chercher la grâce de son époux. Sa générosité et sa compréhension de la vie moderne font que le khalife lui a confié les ’’berndés’’ à la résidence Khadim Rassoul. Pendant le Grand Magal, elle s’occupe de la restauration des hôtes de marque du khalife. Avec l’aide de ses proches, elle se démène à la tâche avec conviction mais aussi avec la ferme volonté d’accomplir cette noble mission. Elle ne se voit pas dans les privilèges d’épouse du khalife.
Sokhna Baly a opté pour le ’’terrain’’ du partage. « À l’heure du repas, elle vient dans la cuisine. C’est elle-même qui s’occupe de la distribution des plats. Elle ne peut pas faire autrement. Parce qu’elle a passé son enfance chez Sokhna Mai, fille de Serigne Touba, qui lui a appris les bonnes actions », révèle son neveu, Mountakha Guèye.
Les bonnes œuvres de Sokhna Baly Mbacké ne se limitent pas seulement à Touba. À Porokhane, 2e capitale du mouridisme, sa présence est très marquée. Dans cette cité religieuse, l’épouse du khalife des mourides organise, chaque année, un Magal pour les homonymes de sa grand-mère, Sokhna Diarra. À Porokhane, Sokhna Baly appuie aussi les hôpitaux et les internats.
À Darou Minam, son fief à Touba, Sokhna Baly Mountakha est bien appréciée. Pas de difficulté pour retrouver sa grande bâtisse, nichée derrière la grande mosquée du quartier. En cette période de Magal, la maison ne désemplit pas. Même des nécessiteux profitent de l’évènement pour visiter sa cuisine et se procurer de la nourriture. « Sokhna Baly est une référence. Elle inspire. Sa présence aux côtés du khalife est comparable à celle de Cheikh Ibra Fall aux côtés de Serigne Touba », renseigne Mountakha Guèye.