
L'adjoint au Haut-commissaire de l’OMVS (Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal), a insisté sur l'importance stratégique des financements innovants pour la réalisation des ouvrages communs, en marge d’une rencontre organisée à Saint-Louis dans le cadre du projet Dynamisation des Appuis aux Organismes de Bassin Transfrontalier (DYNOBA).
Face à la presse, Mamadou Max Bangoura a expliqué que ces mécanismes financiers représentent un levier décisif pour les organismes de bassin. « Il faut déjà que nous ayons la conviction de ce que nous pouvons tirer comme bénéfices des financements innovants », a-t-il affirmé, soulignant la nécessité de bien comprendre les différences majeures avec les financements traditionnels.
Mamadou Max Bangoura a également rappelé le modèle de coopération unique incarné par l’OMVS. « Nous nous mettons ensemble pour exploiter des ouvrages communs au bénéfice de tous les pays membres », a-t-il expliqué. Selon lui, cette dynamique collective est aujourd’hui citée en exemple dans le monde entier.
« Aucun État ne peut revendiquer un droit prioritaire sur un ouvrage réalisé dans le cadre de l’OMVS », a-t-il précisé.
De son côté, Christophe Brachet, représentant de l’Office international de l’eau (OIEAU), a reconnu la difficulté de mobiliser de nouvelles sources de financement, rendant ainsi encore plus précieuse la recherche de solutions innovantes.
Face à la presse, Mamadou Max Bangoura a expliqué que ces mécanismes financiers représentent un levier décisif pour les organismes de bassin. « Il faut déjà que nous ayons la conviction de ce que nous pouvons tirer comme bénéfices des financements innovants », a-t-il affirmé, soulignant la nécessité de bien comprendre les différences majeures avec les financements traditionnels.
Mamadou Max Bangoura a également rappelé le modèle de coopération unique incarné par l’OMVS. « Nous nous mettons ensemble pour exploiter des ouvrages communs au bénéfice de tous les pays membres », a-t-il expliqué. Selon lui, cette dynamique collective est aujourd’hui citée en exemple dans le monde entier.
« Aucun État ne peut revendiquer un droit prioritaire sur un ouvrage réalisé dans le cadre de l’OMVS », a-t-il précisé.
De son côté, Christophe Brachet, représentant de l’Office international de l’eau (OIEAU), a reconnu la difficulté de mobiliser de nouvelles sources de financement, rendant ainsi encore plus précieuse la recherche de solutions innovantes.