Si la période sèche est pour vous un calvaire rien de mieux que le « ande » pour réchauffé l’atmosphère. Les plus frileux le mettront à chauffer dès le matin alors que la majorité tendrait plutôt à le laisser brûler à la faveur de la nuit. Goé, diguidié ou gawé saaf? sont les grands gagnants dans les familles qui les préfèrent aux autres ''tchouraï'' ou encens.
Les saint-louiSiennes les choisissent car ils durent plus longtemps et permettent de chasser les mauvaises odeurs. Rien de mieux que de rendre le foyer accueillant pour garder le mari à la maison, confient les malicieuses.
Les femmes, dans la bonne tradition sénégalaise, souhaitent avant tout rester élégantes. Mais comment rester attrayantes quand les alizées obligent à couvrir chaque partie du corps ? Les jeunes filles revêtent plus aisément pulls et vestes que leurs mères qui jugent cet accoutrement peu seyant.
Ainsi, Bulo confie que lors de l’arrivée du froid elle porte du wax, du bazin lourd ou encore du tchoup qui lui permet de mieux se protéger. Cette quarantenaire déclare que sous son boubou elle porte un petit tricot de corps et par-dessus un jolie voile ou châle qui lui permet d’agrémenter sa tenue.
On l’aura compris, avec ce temps, il n’est pas question pour ces dames de revêtir le petit pagne. Les intempéries, n’en déplaise à ces messieurs, ne permet pas aux femmes d’exposer leurs charmes naturels. Mais consolation pour les couples, c’est une période de rapprochement pour conserver le peu de chaleur qu’il reste dans le foyer. Emilie observe « la couverture, c’est bien mais rien n’est mieux que la couverture humaine. » Les amoureux n’ont donc pas la crainte d’attraper froid à l’inverse des célibataires qui regrettent de ne s’être pas « fait épingler ».
De même, c’est un drame dans les ménages car il faut pour certaine obtenir l’avantage sur les autres épouses pour ne pas attraper froid. Les plus habiles utiliseront le'' Némali'' mais attention aux novices que le feu ne fasse pas trop de fumée. Car avoir chaud est bien mais il n’est pas question non plus d’étouffer.
Circé SI.
Les saint-louiSiennes les choisissent car ils durent plus longtemps et permettent de chasser les mauvaises odeurs. Rien de mieux que de rendre le foyer accueillant pour garder le mari à la maison, confient les malicieuses.
Les femmes, dans la bonne tradition sénégalaise, souhaitent avant tout rester élégantes. Mais comment rester attrayantes quand les alizées obligent à couvrir chaque partie du corps ? Les jeunes filles revêtent plus aisément pulls et vestes que leurs mères qui jugent cet accoutrement peu seyant.
Ainsi, Bulo confie que lors de l’arrivée du froid elle porte du wax, du bazin lourd ou encore du tchoup qui lui permet de mieux se protéger. Cette quarantenaire déclare que sous son boubou elle porte un petit tricot de corps et par-dessus un jolie voile ou châle qui lui permet d’agrémenter sa tenue.
On l’aura compris, avec ce temps, il n’est pas question pour ces dames de revêtir le petit pagne. Les intempéries, n’en déplaise à ces messieurs, ne permet pas aux femmes d’exposer leurs charmes naturels. Mais consolation pour les couples, c’est une période de rapprochement pour conserver le peu de chaleur qu’il reste dans le foyer. Emilie observe « la couverture, c’est bien mais rien n’est mieux que la couverture humaine. » Les amoureux n’ont donc pas la crainte d’attraper froid à l’inverse des célibataires qui regrettent de ne s’être pas « fait épingler ».
De même, c’est un drame dans les ménages car il faut pour certaine obtenir l’avantage sur les autres épouses pour ne pas attraper froid. Les plus habiles utiliseront le'' Némali'' mais attention aux novices que le feu ne fasse pas trop de fumée. Car avoir chaud est bien mais il n’est pas question non plus d’étouffer.
Circé SI.