L’issue malheureuse de la dernière saison du championnat national de pétanque, provoquée par le manque de soutien de l’autorité locale compétente, risque de se reproduire pour l’équipe de Saint-Louis, cette année.
Effet, sur les 14 journées de participation exigées aux clubs régionaux prétendant rejoindre l’équipe nationale, les joueurs de Saint-Louis du Sénégal n’avaient pu faire que 7.
Cette année, les pratiquants de la vieille ville, sur fonds propres, ont assuré leur participation aux 5 journées, en se mettant, avec brio, à tête du classement, en dépit de la démission des autorités.
« Pourtant, Saint-Louis est la première ville de la pétanque au Sénégal », explique Gorgui Mbagnick DIOUF, le président de Saint-Louis Pétanque Club qui rappelle les sacres des années 80.
« En 2015, les trois joueurs de l’équipe nationale qui avait défendu les couleurs du Sénégal aux jeux africains, venaient de Saint-Louis », a signalé le président de ce club créé en 2009, dans un entretien avec Ndarinfo.com.
Alors qu’en prélude au championnat, les équipes des villes de Thiès, Louga, Diourbel, Fatick ont été fortement appuyées par leur municipalité, consciente de la nécessité de valoriser la pratique de cette discipline sportive.
Devant le délaissement de la Commune de Saint-Louis qui préfère orienter ces interventions dans d’autres domaines, les férus de la pétanque ne lâchent pas et se battent pour maintenir leurs acquis.
« Nous n’avons pas d’éclairage sur le terrain non déblayé qui nous sert de boulodrome. Nous cotisons chaque mois pour payer la facture d’électricité », a-t-il révélé.
« Nous avons adressé plusieurs demandes pour rencontrer le maire, sans aucune réponse. Toutes nos démarches entreprises pour rencontrer Mansour FAYE n’ont pas abouties », a déploré M. DIOUF.
NDARINFO.COM
Effet, sur les 14 journées de participation exigées aux clubs régionaux prétendant rejoindre l’équipe nationale, les joueurs de Saint-Louis du Sénégal n’avaient pu faire que 7.
Cette année, les pratiquants de la vieille ville, sur fonds propres, ont assuré leur participation aux 5 journées, en se mettant, avec brio, à tête du classement, en dépit de la démission des autorités.
« Pourtant, Saint-Louis est la première ville de la pétanque au Sénégal », explique Gorgui Mbagnick DIOUF, le président de Saint-Louis Pétanque Club qui rappelle les sacres des années 80.
« En 2015, les trois joueurs de l’équipe nationale qui avait défendu les couleurs du Sénégal aux jeux africains, venaient de Saint-Louis », a signalé le président de ce club créé en 2009, dans un entretien avec Ndarinfo.com.
Alors qu’en prélude au championnat, les équipes des villes de Thiès, Louga, Diourbel, Fatick ont été fortement appuyées par leur municipalité, consciente de la nécessité de valoriser la pratique de cette discipline sportive.
Devant le délaissement de la Commune de Saint-Louis qui préfère orienter ces interventions dans d’autres domaines, les férus de la pétanque ne lâchent pas et se battent pour maintenir leurs acquis.
« Nous n’avons pas d’éclairage sur le terrain non déblayé qui nous sert de boulodrome. Nous cotisons chaque mois pour payer la facture d’électricité », a-t-il révélé.
« Nous avons adressé plusieurs demandes pour rencontrer le maire, sans aucune réponse. Toutes nos démarches entreprises pour rencontrer Mansour FAYE n’ont pas abouties », a déploré M. DIOUF.
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