C’est le vendredi 23 septembre 2016 que le Conseil d’Administration de la Banque européenne d’Investissement (BEI) a approuvé ce financement de 100 millions d’Euros (65 milliards de FCFA) pour le même projet.
La signature a lieu à l’Ambassade du Sénégal à Washington, en marge des Assemblées Annuelles du FMI et de la Banque Mondiale. C’est un évènement important pour le Sénégal car ce financement de 100 millions d’euros accordé au projet de la SONES constitue le taux plafond de la BEI dans des interventions de cette nature en Afrique.
En matière de transfert, KMS3 est le projet le plus important que le Sénégal ait jamais porté. La troisième usine de Keur Momar Sarr, d’un coût global de 272 milliards FCFA, fait partie des ouvrages structurants. KMS3 aura une capacité finale de 100.000 m3/j extensible à 200.000 m3/j. Elle devra couvrir, à l’horizon 2035, les besoins en eau potable des populations de la région de Dakar et des localités traversées par la conduite du Lac de Guiers.
A elle seule, Dakar consomme 70% de la production d’eau potable du périmètre affermé. La croissance démographique justifie l’anticipation sur l’évolution de la demande.
La signature a lieu à l’Ambassade du Sénégal à Washington, en marge des Assemblées Annuelles du FMI et de la Banque Mondiale. C’est un évènement important pour le Sénégal car ce financement de 100 millions d’euros accordé au projet de la SONES constitue le taux plafond de la BEI dans des interventions de cette nature en Afrique.
En matière de transfert, KMS3 est le projet le plus important que le Sénégal ait jamais porté. La troisième usine de Keur Momar Sarr, d’un coût global de 272 milliards FCFA, fait partie des ouvrages structurants. KMS3 aura une capacité finale de 100.000 m3/j extensible à 200.000 m3/j. Elle devra couvrir, à l’horizon 2035, les besoins en eau potable des populations de la région de Dakar et des localités traversées par la conduite du Lac de Guiers.
A elle seule, Dakar consomme 70% de la production d’eau potable du périmètre affermé. La croissance démographique justifie l’anticipation sur l’évolution de la demande.
LE MINISTRE DE L’HYDRAULIQUE ET DE L’ASSAINISSEMENT, M. MANSOUR FAYE : « Le projet KMS3 fait partie du Plan d’Actions Prioritaires du PSE »
« La construction de cette troisième usine et sa conduite de transfert est une réponse à la forte demande en eau de Dakar. Sans cette solution durable, la capitale et ses excroissances connaîtront un déficit de 200 000 m3/jour en 2025.
Cet ouvrage permettra de sécuriser l’approvisionnement en eau de Dakar avec 200.000 m3/jour supplémentaires, de raccorder environ 610.000 personnes supplémentaires au réseau d’eau potable et de réduire les prélèvements des nappes souterraines surexploitées.
Le contexte de cette Convention de financement est marqué par les fermes ambitions du Sénégal en matière d’accès à l’eau potable. Le socle institutionnel reste, aujourd’hui, le Plan Sénégal Emergent (PSE). Ce cadre de référence traduit la vision que Monsieur le président de la République, Macky Sall met en oeuvre depuis son accession au pouvoir en 2012 au nom de la qualité de vie.
Le projet KMS3 fait partie du Plan d’Actions Prioritaires du PSE. Le coût global du projet est estimé à 418 millions d’euros (274 milliards FCFA) dont 100 millions (65,5 milliards FCFA), soit près de 25%, apportés par la Banque Européenne d’Investissement.»
« La construction de cette troisième usine et sa conduite de transfert est une réponse à la forte demande en eau de Dakar. Sans cette solution durable, la capitale et ses excroissances connaîtront un déficit de 200 000 m3/jour en 2025.
Cet ouvrage permettra de sécuriser l’approvisionnement en eau de Dakar avec 200.000 m3/jour supplémentaires, de raccorder environ 610.000 personnes supplémentaires au réseau d’eau potable et de réduire les prélèvements des nappes souterraines surexploitées.
Le contexte de cette Convention de financement est marqué par les fermes ambitions du Sénégal en matière d’accès à l’eau potable. Le socle institutionnel reste, aujourd’hui, le Plan Sénégal Emergent (PSE). Ce cadre de référence traduit la vision que Monsieur le président de la République, Macky Sall met en oeuvre depuis son accession au pouvoir en 2012 au nom de la qualité de vie.
Le projet KMS3 fait partie du Plan d’Actions Prioritaires du PSE. Le coût global du projet est estimé à 418 millions d’euros (274 milliards FCFA) dont 100 millions (65,5 milliards FCFA), soit près de 25%, apportés par la Banque Européenne d’Investissement.»
LE MINISTRE DE L’ECONOMIE DES FINANCES ET DU PLAN, M. AMADOU BA : « Le secteur de l’eau constitue un axe prioritaire pour le Président de la République »
« Les interventions de la BEI, qui sont en phase avec les politiques mises en place par l’Etat du Sénégal, couvrent les secteurs prioritaires du Gouvernement déclinés à travers le Plan Sénégal Emergent (PSE) et nous procurent beaucoup de satisfaction, tant du point de vue de la diversité des interventions que de la qualité du portefeuille.
La convention que nous venons de signer constitue un apport financier d’un montant de 100 millions d’euros, soit environ 65,595 milliards de FCFA destiné au financement du projet de réalisation d’une usine de traitement d’eau potable à Keur Momar Sarr- KMS3» alloués à l’Etat du Sénégal sous forme de prêt concessionnel.
Ce financement sera rétrocédé à la Société nationale des Eaux du Sénégal (SONES) :
« Les interventions de la BEI, qui sont en phase avec les politiques mises en place par l’Etat du Sénégal, couvrent les secteurs prioritaires du Gouvernement déclinés à travers le Plan Sénégal Emergent (PSE) et nous procurent beaucoup de satisfaction, tant du point de vue de la diversité des interventions que de la qualité du portefeuille.
La convention que nous venons de signer constitue un apport financier d’un montant de 100 millions d’euros, soit environ 65,595 milliards de FCFA destiné au financement du projet de réalisation d’une usine de traitement d’eau potable à Keur Momar Sarr- KMS3» alloués à l’Etat du Sénégal sous forme de prêt concessionnel.
Ce financement sera rétrocédé à la Société nationale des Eaux du Sénégal (SONES) :
- à hauteur de 85% sous forme de subvention
- et de 15% sous forme de prêt.