Le Sénégal poursuit sa route sur le chemin de la croissance mais une croissance moins forte que prévue : 4 % au lieu 4,3 cette année (avec une inflation à 1%) et pour 2014 : 4,6 au lieu de 4,8 %. « On n’assiste pas au Sénégal à un décollage de l’économie », souligne un expert.
Dans son rapport de fin de mission, le FMI reconnaît que la mise en œuvre du programme conclu au titre de l’Instrument de soutien à la politique économique, a progressé « mais plus lentement qu’escompté ».
Au-delà du problème des moins values fiscales, c’est la réforme du secteur de l’électricité qui semble inquiéter le plus le FMI : le FMI qui parle du « lourd fardeau » pour le budget sénégalais.(Il s’agit des subventions au tarif, des impôts que la Société nationale d'électricité ne paient pas, des sommes que l’Etat dépensent dans des investissements pour le compte de la Sénélec.
L’addition est salée : 2 % du produit intérieur brut chaque année, et le rapport d’insister : « Ce sont des manques à gagner importants qui limitent (du coup) la capacité du gouvernement à financer d’autres programmes prioritaires qui pourraient générer à leur tour de la croissance et des emplois ».
Le FMI attend désormais de connaître les nouvelles priorités du nouveau gouvernement d’Aminata Touré.
Dans son rapport de fin de mission, le FMI reconnaît que la mise en œuvre du programme conclu au titre de l’Instrument de soutien à la politique économique, a progressé « mais plus lentement qu’escompté ».
Au-delà du problème des moins values fiscales, c’est la réforme du secteur de l’électricité qui semble inquiéter le plus le FMI : le FMI qui parle du « lourd fardeau » pour le budget sénégalais.(Il s’agit des subventions au tarif, des impôts que la Société nationale d'électricité ne paient pas, des sommes que l’Etat dépensent dans des investissements pour le compte de la Sénélec.
L’addition est salée : 2 % du produit intérieur brut chaque année, et le rapport d’insister : « Ce sont des manques à gagner importants qui limitent (du coup) la capacité du gouvernement à financer d’autres programmes prioritaires qui pourraient générer à leur tour de la croissance et des emplois ».
Le FMI attend désormais de connaître les nouvelles priorités du nouveau gouvernement d’Aminata Touré.