''Nous travaillons avec le gouvernement mauritanien pour ériger une bande côtière de 25 Km, dans laquelle nos pêcheurs pourront pêcher librement. La Mauritanie est un pays frère, souverain, nous discutons'' pour obtenir leur accord, a-t-il dit.
M. Haïdar a fait cette annonce lors de l’examen du budget de son département à l’Assemblée nationale où plusieurs députés l'ont interpellé sur les problèmes entre les pêcheurs sénégalais et les gardes de côtes mauritaniens.
''Nous devons continuer à discuter avec la Mauritanie. Le projet que j’ai soumis à mon homologue mauritanien, c’est de mettre une bande côtière de 25 km, parce que la frontière avec Saint-Louis est très proche, malheureusement nos pêcheurs la dépassent’’, a indiqué Haïdar El Ali.
Le ministre de la Pêche et des Affaires maritimes a annoncé qu’il va effectuer un voyage le 15 décembre en Mauritanie dans le cadre de la restitution du matériel saisi dans des pirogues sénégalaises.
Face à la raréfaction du poisson, il a plaidé pour la création d’aires marines protégées (AMP) et la mise en place d’une politique hardie en direction de la pisciculture et de l’aquaculture.
Le budget du ministère de la Pêche et des Affaires maritimes pour l’exercice 2014 a connu une baisse de 11 milliards 682 millions de francs, passant de 24 milliards 996 millions à 13 milliards 313 millions.
APS
M. Haïdar a fait cette annonce lors de l’examen du budget de son département à l’Assemblée nationale où plusieurs députés l'ont interpellé sur les problèmes entre les pêcheurs sénégalais et les gardes de côtes mauritaniens.
''Nous devons continuer à discuter avec la Mauritanie. Le projet que j’ai soumis à mon homologue mauritanien, c’est de mettre une bande côtière de 25 km, parce que la frontière avec Saint-Louis est très proche, malheureusement nos pêcheurs la dépassent’’, a indiqué Haïdar El Ali.
Le ministre de la Pêche et des Affaires maritimes a annoncé qu’il va effectuer un voyage le 15 décembre en Mauritanie dans le cadre de la restitution du matériel saisi dans des pirogues sénégalaises.
Face à la raréfaction du poisson, il a plaidé pour la création d’aires marines protégées (AMP) et la mise en place d’une politique hardie en direction de la pisciculture et de l’aquaculture.
Le budget du ministère de la Pêche et des Affaires maritimes pour l’exercice 2014 a connu une baisse de 11 milliards 682 millions de francs, passant de 24 milliards 996 millions à 13 milliards 313 millions.
APS