Le recteur de l’Université Gaston Berger a insisté, mercredi, sur l’exigence pour les populations de bénéficier d’une alimentation saine dont la production sera respectueuse de l’environnement.
‘’Nous voulons influer sur notre rapport à la nourriture. Notre ambition est d’amener le Sénégal à produire tout ce dont il a besoin dans le strict respect de l’environnement et pour la bonne santé de sa population’’, a dit le professeur Lamine Guèye, à l’occasion de la célébration de la journée mondiale de l’environnement.
‘’La prise en compte de la qualité de notre alimentation est aussi une exigence pour nous. Nous devons non seulement manger à notre faim mais aussi et surtout bien manger. Notre défi est de diminuer la suralimentation des classes aisées et renforcer la qualité nutritionnelle des classes pauvres’’, a-t-il ajouté en indiquant que ‘’les universités ont l’obligation de lutter contre la mal bouffe’’.
Par ailleurs, le professeur Gueye a appelé à une meilleure préservation de la biodiversité et du cadre de vie et soutient que ‘’nous y parviendrons si nous gagnons le pari de la conservation des productions végétales et animales qui pourrissent entre les mains de nos producteurs’’.
Le rapport général des journées scientifiques, organisées en prélude à la célébration de cette journée, a évoqué les dangers du gaspillage alimentaire dans nos sociétés. Ces conclusions qui feront l’objet d’un ouvrage collectif attirent l’attention des autorités sur la menace de la biotechnologie sur les productions alimentaires et l’exigence d’engager la lutte contre le péril plastique.
‘’L’Etat doit imposer aux producteurs de plastique leur prise en charge, leur récupération et leur élimination’’, a expliqué le Professeur Papa Meissa Dieng qui faisait la lecture dudit rapport.
Cheikh S.SEYE
‘’Nous voulons influer sur notre rapport à la nourriture. Notre ambition est d’amener le Sénégal à produire tout ce dont il a besoin dans le strict respect de l’environnement et pour la bonne santé de sa population’’, a dit le professeur Lamine Guèye, à l’occasion de la célébration de la journée mondiale de l’environnement.
‘’La prise en compte de la qualité de notre alimentation est aussi une exigence pour nous. Nous devons non seulement manger à notre faim mais aussi et surtout bien manger. Notre défi est de diminuer la suralimentation des classes aisées et renforcer la qualité nutritionnelle des classes pauvres’’, a-t-il ajouté en indiquant que ‘’les universités ont l’obligation de lutter contre la mal bouffe’’.
Par ailleurs, le professeur Gueye a appelé à une meilleure préservation de la biodiversité et du cadre de vie et soutient que ‘’nous y parviendrons si nous gagnons le pari de la conservation des productions végétales et animales qui pourrissent entre les mains de nos producteurs’’.
Le rapport général des journées scientifiques, organisées en prélude à la célébration de cette journée, a évoqué les dangers du gaspillage alimentaire dans nos sociétés. Ces conclusions qui feront l’objet d’un ouvrage collectif attirent l’attention des autorités sur la menace de la biotechnologie sur les productions alimentaires et l’exigence d’engager la lutte contre le péril plastique.
‘’L’Etat doit imposer aux producteurs de plastique leur prise en charge, leur récupération et leur élimination’’, a expliqué le Professeur Papa Meissa Dieng qui faisait la lecture dudit rapport.
Cheikh S.SEYE