Les participants à l'atelier national de partage sur la problématique des terres agricoles au Sénégal ont souligné, mardi à Dakar, la nécessité de protéger l'économie familiale rurale et d'encadrer l'investissement privé étranger.
Aux termes de deux jours 'd'intenses débat', l'atelier a estimé qu'il faut 'protéger l'économie familiale rurale (...) la petite paysannerie doit également protégée (...)', a indiqué Dr Waly Diouf, conseiller technique au ministère de l'Agriculture.
Les participants à la rencontre ont aussi estimé que 'le Sénégal doit être prêt à accueillir l'investissement privé étranger' tout en l'encadrant, a déclaré Dr Waly Diouf. 'Il faut encadrer l'investissement privé étranger', a-t-il insisté, ajoutant qu'il faut aussi 'promouvoir l'investissement privé local' en mettant l'accent sur l'agro-business.
La protection des Niayes a été également au coeur des recommandations sorties de l'atelier de Dakar. La zone des Niayes, située sur la grande côte de Dakar à Saint-Louis doit 'être protégée car elle est transformée aujourd'hui en zone d'habitation', a relevé le conseiller technique.
'Cette zone unique au Sénégal est agressée', a dit Dr Waly Diouf, qui a souligné que si le Sénégal perdait cette zone, il serait obligé de recourir aux importations pour satisfaire sa demande en culture maraîchère.
Parmi les recommandations de la rencontre figurent aussi la protection des zones minières dont l'exploitation cause beaucoup de dégâts, a dit Dr Diouf.
Ouvert lundi, à l'atelier national de partage sur la problématique des terres agricoles au Sénégal a réuni des représentants d'organisations paysannes, des conseillers ruraux, des spécialistes en agriculture, des bailleurs de fonds, etc.
'La problématique de la gestion des terres agricoles gravite autour de plusieurs questions. Comment protéger la petite exploitation familiale tout en rassurant les investisseurs ? Le contexte d'insécurité juridique n'exacerberait-il pas la concurrence entre ces exploitations familiales et les investisseurs étrangers ?', s'était interrogée Viviane Bambassi Dos Santos, directeur de cabinet du ministre de l'Agriculture et de l'Equipement rural à l'ouverture de la rencontre.
APS/03/10/2012
Aux termes de deux jours 'd'intenses débat', l'atelier a estimé qu'il faut 'protéger l'économie familiale rurale (...) la petite paysannerie doit également protégée (...)', a indiqué Dr Waly Diouf, conseiller technique au ministère de l'Agriculture.
Les participants à la rencontre ont aussi estimé que 'le Sénégal doit être prêt à accueillir l'investissement privé étranger' tout en l'encadrant, a déclaré Dr Waly Diouf. 'Il faut encadrer l'investissement privé étranger', a-t-il insisté, ajoutant qu'il faut aussi 'promouvoir l'investissement privé local' en mettant l'accent sur l'agro-business.
La protection des Niayes a été également au coeur des recommandations sorties de l'atelier de Dakar. La zone des Niayes, située sur la grande côte de Dakar à Saint-Louis doit 'être protégée car elle est transformée aujourd'hui en zone d'habitation', a relevé le conseiller technique.
'Cette zone unique au Sénégal est agressée', a dit Dr Waly Diouf, qui a souligné que si le Sénégal perdait cette zone, il serait obligé de recourir aux importations pour satisfaire sa demande en culture maraîchère.
Parmi les recommandations de la rencontre figurent aussi la protection des zones minières dont l'exploitation cause beaucoup de dégâts, a dit Dr Diouf.
Ouvert lundi, à l'atelier national de partage sur la problématique des terres agricoles au Sénégal a réuni des représentants d'organisations paysannes, des conseillers ruraux, des spécialistes en agriculture, des bailleurs de fonds, etc.
'La problématique de la gestion des terres agricoles gravite autour de plusieurs questions. Comment protéger la petite exploitation familiale tout en rassurant les investisseurs ? Le contexte d'insécurité juridique n'exacerberait-il pas la concurrence entre ces exploitations familiales et les investisseurs étrangers ?', s'était interrogée Viviane Bambassi Dos Santos, directeur de cabinet du ministre de l'Agriculture et de l'Equipement rural à l'ouverture de la rencontre.
APS/03/10/2012