Des personnalités de la société civile, partis politiques et organisations socioprofessionnelles se sont retrouvée au sein d’une initiative citoyenne dénommée ‘’Ci Laa Bokk’’ pour dénoncer la fermeture du jeu politique au Sénégal qui selon eux, est réservé à la simple volonté des partis politiques.
L’initiative qui a fait face à la presse, jeudi, invite l’Assemblée Nationale à ‘’une modification de la loi électorale dans le sens de permettre la participation de listes indépendantes aux élections locales’’.
En rappelant l’impératif du respect de cet engagement fort pris par les différents partis au pouvoir et formulé dans la charte des assises nationales, cette initiative réclame la correction diligente d’une ‘’injustice démocratique’’.
Pour eux, les compétitions électorales doivent s’ouvrir et ‘’permettre aux citoyens de faire leur choix dans une offre diversifiée qui multiplie les chances d’élire les meilleurs candidats possibles’’.
‘’Cette logique de discrimination est inacceptable et viole non seulement le principe d’égalité des citoyens consacré par la Constitution mais également les principes élémentaires de la démocratie dont notre pays se veut un champion en Afrique’’, signale une déclaration adressée à la presse.
Les responsables de Ci Laa Bokk’’ d’indiquer que ‘’sans être titulaire de mandats électifs, des citoyens dévoués à la cause de leurs localités s’investissent quotidiennement pour apporter leur contribution citoyenne au développement de leurs collectivités à la différence de nombre de politiciens pour qui les mandats électifs constituent des moyens de promotion personnelle’’.
‘’Les élections locales sont des élections de proximité dans lesquelles le coefficient personnel des candidats doit être plus déterminant que l’appartenance partisane qui est à la base des parachutages de candidats tant décriés’’, jugent-ils en promettant de ‘’mobiliser tous les démocrates pour mettre fin à l’exclusion intolérable des élections locales de citoyens qui ont librement choisi de ne pas s’inscrire dans une logique partisane’’.
Par ailleurs, ce collectif appelle le Gouvernement à créer les conditions pour que ‘’les collectivités locales bénéficient de toutes les ressources et compétences disponibles afin d’être en mesure d’optimiser les compétences transférées et d’impulser un véritable développement à la base porteuse de transformation sociale’’.
Cheikh S.SEYE
L’initiative qui a fait face à la presse, jeudi, invite l’Assemblée Nationale à ‘’une modification de la loi électorale dans le sens de permettre la participation de listes indépendantes aux élections locales’’.
En rappelant l’impératif du respect de cet engagement fort pris par les différents partis au pouvoir et formulé dans la charte des assises nationales, cette initiative réclame la correction diligente d’une ‘’injustice démocratique’’.
Pour eux, les compétitions électorales doivent s’ouvrir et ‘’permettre aux citoyens de faire leur choix dans une offre diversifiée qui multiplie les chances d’élire les meilleurs candidats possibles’’.
‘’Cette logique de discrimination est inacceptable et viole non seulement le principe d’égalité des citoyens consacré par la Constitution mais également les principes élémentaires de la démocratie dont notre pays se veut un champion en Afrique’’, signale une déclaration adressée à la presse.
Les responsables de Ci Laa Bokk’’ d’indiquer que ‘’sans être titulaire de mandats électifs, des citoyens dévoués à la cause de leurs localités s’investissent quotidiennement pour apporter leur contribution citoyenne au développement de leurs collectivités à la différence de nombre de politiciens pour qui les mandats électifs constituent des moyens de promotion personnelle’’.
‘’Les élections locales sont des élections de proximité dans lesquelles le coefficient personnel des candidats doit être plus déterminant que l’appartenance partisane qui est à la base des parachutages de candidats tant décriés’’, jugent-ils en promettant de ‘’mobiliser tous les démocrates pour mettre fin à l’exclusion intolérable des élections locales de citoyens qui ont librement choisi de ne pas s’inscrire dans une logique partisane’’.
Par ailleurs, ce collectif appelle le Gouvernement à créer les conditions pour que ‘’les collectivités locales bénéficient de toutes les ressources et compétences disponibles afin d’être en mesure d’optimiser les compétences transférées et d’impulser un véritable développement à la base porteuse de transformation sociale’’.
Cheikh S.SEYE