À ce rythme autant légaliser l’avortement médicalisé, semblent dire les membres de l’Association des femmes médecins du Sénégal (Afems). C’est que les chiffres de l’interruption volontaire de grossesse sont ahurissants :
le Sénégal a enregistré en 2012, un total de 51 500 cas d’avortement. Les interventions à risque causant 3,6% des décès chez les femmes qui mettent au monde.
Autre conséquence de l’interdiction légale de l’avortement : 3% des femmes en prison sont détenues pour infanticide. D’où l'appel d’associations comme l’Afems, l’Ajs (femmes juristes) et le réseau Siggil djiguène, pour la légalisation de l’avortement médicalisé en cas de viol et d’inceste.
(Source : Le Populaire)
le Sénégal a enregistré en 2012, un total de 51 500 cas d’avortement. Les interventions à risque causant 3,6% des décès chez les femmes qui mettent au monde.
Autre conséquence de l’interdiction légale de l’avortement : 3% des femmes en prison sont détenues pour infanticide. D’où l'appel d’associations comme l’Afems, l’Ajs (femmes juristes) et le réseau Siggil djiguène, pour la légalisation de l’avortement médicalisé en cas de viol et d’inceste.
(Source : Le Populaire)