« Le Sénégal sera autonome en matière énergétique. » C’est la promesse du nouveau gouvernement sénégalais qui, dans son agenda national de transformation, promet 10 000 MW de capacité additionnelle d’ici 2050. Dans ce document officiel publié le mercredi 16 octobre, les autorités indiquent que l’électricité de demain au Sénégal sera entièrement générée par la transformation des ressources nationales, à savoir le gaz, le vent, le soleil et les cours d’eau.
Cette énergie, toujours selon le document, sera propre et compétitive, avec « un prix modéré (moins de 60 FCFA le kWh) pour les besoins des ménages et de nos entreprises et industries », permettant à l’ensemble des Sénégalais d’avoir accès à l’électricité dès 2034. Le document affirme également que le pays sera en mesure d’exporter de l’électricité et de l’énergie à ses voisins.
Pour ce faire, les autorités comptent avant tout renforcer la gouvernance du secteur et appliquer le nouveau code de l’électricité et des principes de planification. Le plan prévoit également un mix énergétique plus équilibré avec 50 % de gaz et 50 % d’énergies renouvelables dans les nouvelles installations, en plus de la transformation de certaines centrales au fuel.
Enfin, le pays mise sur la densification des réseaux de transport et distribution-vente, en plus de l’exploitation de l’ensemble des concessions d’électrification rurale.
En attendant cette révolution, le Sénégal dispose actuellement d’une capacité installée de moins de 2000 MW. Toutefois, le pays de la Teranga affiche un taux d’électrification de 84,3% au niveau national, et près de 100% dans les zones urbaines. Ces chiffres sont nettement au-dessus de la plupart des taux qu’affichent les pays de l’Afrique subsaharienne.
Agence Ecofin
Cette énergie, toujours selon le document, sera propre et compétitive, avec « un prix modéré (moins de 60 FCFA le kWh) pour les besoins des ménages et de nos entreprises et industries », permettant à l’ensemble des Sénégalais d’avoir accès à l’électricité dès 2034. Le document affirme également que le pays sera en mesure d’exporter de l’électricité et de l’énergie à ses voisins.
Pour ce faire, les autorités comptent avant tout renforcer la gouvernance du secteur et appliquer le nouveau code de l’électricité et des principes de planification. Le plan prévoit également un mix énergétique plus équilibré avec 50 % de gaz et 50 % d’énergies renouvelables dans les nouvelles installations, en plus de la transformation de certaines centrales au fuel.
Enfin, le pays mise sur la densification des réseaux de transport et distribution-vente, en plus de l’exploitation de l’ensemble des concessions d’électrification rurale.
En attendant cette révolution, le Sénégal dispose actuellement d’une capacité installée de moins de 2000 MW. Toutefois, le pays de la Teranga affiche un taux d’électrification de 84,3% au niveau national, et près de 100% dans les zones urbaines. Ces chiffres sont nettement au-dessus de la plupart des taux qu’affichent les pays de l’Afrique subsaharienne.
Agence Ecofin