« Moi, je suis pas Africain. Par contre, je suis Panafricain », clame Sandro Joyeux, ce Franco-Italien qui peut chanter en bambara, en soussou et en arabe. Sandro Joyeux est un OVNI, un « ethno-guitariste » bourlingueur qui s’enrichit sur le continent.
« Je suis passionné, dit-il, par ce qui se fait dans les ethnies, dans les traditions orales ; que ce soit à Madagascar, au Maroc, en Afrique du Sud ». « Je suis vraiment un passionné d’Afrique, musicalement et humainement aussi parce que, reprend-il, c’est un continent qui te ramène à toi-même dans une certaine manière, qui te ramène à ton côté 'simple' ».
Baroudeur des temps modernes
Au Sénégal depuis un mois, Sandro Joyeux a bien cherché à apprivoiser la langue nationale mais, malgré ses aptitudes, ça n’est pas simple. « Apprendre le wolof, c’est pas facile. Mon rêve, assure-t-il, c’est aller jouer la chanson « Ndar » à Youssou N’Dour. C’est une chanson dans laquelle il parle de l’hospitalité légendaire de Saint-Louis et de Ndar ».
RFI.FR
« Je suis passionné, dit-il, par ce qui se fait dans les ethnies, dans les traditions orales ; que ce soit à Madagascar, au Maroc, en Afrique du Sud ». « Je suis vraiment un passionné d’Afrique, musicalement et humainement aussi parce que, reprend-il, c’est un continent qui te ramène à toi-même dans une certaine manière, qui te ramène à ton côté 'simple' ».
Baroudeur des temps modernes
Au Sénégal depuis un mois, Sandro Joyeux a bien cherché à apprivoiser la langue nationale mais, malgré ses aptitudes, ça n’est pas simple. « Apprendre le wolof, c’est pas facile. Mon rêve, assure-t-il, c’est aller jouer la chanson « Ndar » à Youssou N’Dour. C’est une chanson dans laquelle il parle de l’hospitalité légendaire de Saint-Louis et de Ndar ».
RFI.FR