Cette rencontre s’est tenue en présence des représentants de la KOICA (Corée du Sud), du REDI, de la Division régionale de l’environnement et des établissements classés (DREEC), d’élus de la Commune de Gandiol et de Saint-Louis, d’étudiants, chercheurs et autres autorités universitaires.
« Saint-Louis est lourdement affectée par les changements climatiques et nous pensons qu’en tant que chercheurs, nous devons apporter une réponse à cette question pour aider les politiques et bien évidemment les populations à élaborer une stratégie d’adaptation répondants aux réalités locales », a déclaré Aly TANDIAN, le coordonnateur du GERM, en marge de l’ouverture de cet atelier.
Pour ce faire, des « entretiens individuels et collectifs, de prises de photos et de vidéos, de réalisations de films documentaires », ont permis aux chercheurs d’amasser d’importantes données et de pouvoir proposer des outils pour faire face à ces incidents environnementaux.
De Saint-Louis commune à Gandiol, en passant par Fass-Ngom, Gandiol, Doune Baba DIEYE et Ndialakhar, le projet a entrepris une dynamique d’échanges approfondis en vue d’étudier les impacts des changements climatiques sur tous les secteurs d’activités des populations.
« Nous ne voulons pas faire du rébarbatif », signale M. TANDIAN, en faisant allusion à la nouvelle démarche adoptée et qui consiste à incruster l’approche inclusive dans le processus d’exécution du programme.
« La recherche n’a de sens que lorsqu’elle est utile aux populations », note docteur TANDIAN.
La présentation des données a été un moment fort d’échanges entre le GERM et le REDI, mis en équipe par le précieux soutien de la KOICA.
Le professeur Tae Joo LEE, président du Re-shaping Development Institute (REDI) s’est félicité de la richesse des informations glanées autour de cette rencontre à mi-parcours du projet.
« Nous cherchons à produire des données concrètes en nous basant sur la collecte d’informations recueillies sur le terrain. Cela nous permettra ensuite de faire des propositions pertinentes », a-t-il dit, en insistant sur la nécessité de bâtir un partenariat agissant entre les institutions de recherche et les populations.
M. LEE, anthropologue, renseigne qu’un document final sera produit au terme de cette étude et sera soumis à l’appréciation des pouvoirs publics.
Au nom du recteur Baydallaye KANE, le professeur Boubabacr CAMARA , doyen de l’UFR des Lettres et Sciences Humaines (Lsh) a magnifié la « belle initiative » de la Koica, du Germ et du Redi.
Pour lui, ce projet permettra « d’apporter une réelle plus-value à savoir contribuer à l’élaboration d’une stratégie d’intervention visant à renforcer les capacités du partenaire dans les pays du Sud, l’Université Gaston Berger de Saint-Louis , dans ce domaine ».
> Suivez, en vidéo, les explications de Docteur Aly TANDIAN et du professeur Tae Joo LEE
« Saint-Louis est lourdement affectée par les changements climatiques et nous pensons qu’en tant que chercheurs, nous devons apporter une réponse à cette question pour aider les politiques et bien évidemment les populations à élaborer une stratégie d’adaptation répondants aux réalités locales », a déclaré Aly TANDIAN, le coordonnateur du GERM, en marge de l’ouverture de cet atelier.
Pour ce faire, des « entretiens individuels et collectifs, de prises de photos et de vidéos, de réalisations de films documentaires », ont permis aux chercheurs d’amasser d’importantes données et de pouvoir proposer des outils pour faire face à ces incidents environnementaux.
De Saint-Louis commune à Gandiol, en passant par Fass-Ngom, Gandiol, Doune Baba DIEYE et Ndialakhar, le projet a entrepris une dynamique d’échanges approfondis en vue d’étudier les impacts des changements climatiques sur tous les secteurs d’activités des populations.
« Nous ne voulons pas faire du rébarbatif », signale M. TANDIAN, en faisant allusion à la nouvelle démarche adoptée et qui consiste à incruster l’approche inclusive dans le processus d’exécution du programme.
« La recherche n’a de sens que lorsqu’elle est utile aux populations », note docteur TANDIAN.
La présentation des données a été un moment fort d’échanges entre le GERM et le REDI, mis en équipe par le précieux soutien de la KOICA.
Le professeur Tae Joo LEE, président du Re-shaping Development Institute (REDI) s’est félicité de la richesse des informations glanées autour de cette rencontre à mi-parcours du projet.
« Nous cherchons à produire des données concrètes en nous basant sur la collecte d’informations recueillies sur le terrain. Cela nous permettra ensuite de faire des propositions pertinentes », a-t-il dit, en insistant sur la nécessité de bâtir un partenariat agissant entre les institutions de recherche et les populations.
M. LEE, anthropologue, renseigne qu’un document final sera produit au terme de cette étude et sera soumis à l’appréciation des pouvoirs publics.
Au nom du recteur Baydallaye KANE, le professeur Boubabacr CAMARA , doyen de l’UFR des Lettres et Sciences Humaines (Lsh) a magnifié la « belle initiative » de la Koica, du Germ et du Redi.
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