Les qualités narratives de l’écrivain Samba Oumar Fall ont attiré l’attention des critiques, mercredi, à l’occasion de la cérémonie de dédicaces de son premier roman édité par Harmattan et intitulé "Un amour au fond du fleuve".
‘’L’auteur a réussi à raconter d’une façon particulière une histoire simple et banale pour en faire une histoire très forte’’, a dit le professeur Mouhamed Habib Kébé, formateur et également auteur au cours de cette cérémonie qui s'est tenue à l'Institut culturel français.
Selon lui, ‘’la saveur du texte, ses délices il faut les trouver dans les techniques narratives et l’écriture’’. Ce roman est ‘’bien raconté’’, a-t-il estimé.
Au départ pessimiste quant à la capacité de Samba Oumar Fall à écrire un roman, il déclare qu'après ‘’avoir commencé à lire", il a vu son "inquiétude dissipée, ajoutant qu'il a "découvert un roman bien écrit un récit magnifique’’.
Le professeur Boubacar Camara de l’Université Gaston Berger (UGB) a lui aussi salué ‘’un texte cohérent et une qualité narrative certaine’’, tout en invitant l’écrivain à donner ‘’plus d’épaisseur philosophique au contenu de ses écrits’’.
‘’L’amour, tout le monde en parle, mais la spécificité réside dans la trame’’, selon le philosophe et nom moins écrivain Alpha Amadou Sy, étonné par la capacité de l’auteur à allier ses activités d’écrivains à son métier de journaliste.
‘’L’auteur a réussi à raconter d’une façon particulière une histoire simple et banale pour en faire une histoire très forte’’, a dit le professeur Mouhamed Habib Kébé, formateur et également auteur au cours de cette cérémonie qui s'est tenue à l'Institut culturel français.
Selon lui, ‘’la saveur du texte, ses délices il faut les trouver dans les techniques narratives et l’écriture’’. Ce roman est ‘’bien raconté’’, a-t-il estimé.
Au départ pessimiste quant à la capacité de Samba Oumar Fall à écrire un roman, il déclare qu'après ‘’avoir commencé à lire", il a vu son "inquiétude dissipée, ajoutant qu'il a "découvert un roman bien écrit un récit magnifique’’.
Le professeur Boubacar Camara de l’Université Gaston Berger (UGB) a lui aussi salué ‘’un texte cohérent et une qualité narrative certaine’’, tout en invitant l’écrivain à donner ‘’plus d’épaisseur philosophique au contenu de ses écrits’’.
‘’L’amour, tout le monde en parle, mais la spécificité réside dans la trame’’, selon le philosophe et nom moins écrivain Alpha Amadou Sy, étonné par la capacité de l’auteur à allier ses activités d’écrivains à son métier de journaliste.
Quant à l’auteur Samba Oumar Fall, il a remercié le public qui s’est déplacé et rappelé ses relations avec Saint-Louis, une ville où il a touché ses premiers livres et débuté ses études primaires.
Avec Saint-Louis aussi, "SOF", surnom de l'écrivain, a une forte relation pour y avoir ‘’été embauché comme journaliste au Soleil et rencontré son âme sœur avec qui il donnait des cours dans le même établissement professionnel’’.
Ce roman raconte l'histoire de deux jeunes, Daouda et Penda, emportés par le naufrage du bateau le Joola, alors qu'ils cherchaient à s'éloigner de la Casamance pour vivre leur amour loin de Adja Ouly.
Cette dernière, qui est la mère de Daouda, souhaitait marier sa fille avec un homme plus nanti et s'opposait corps et âmes à leur union à laquelle son mari, oncle du prétendant, ne trouvait aucun mal.
APS
Avec Saint-Louis aussi, "SOF", surnom de l'écrivain, a une forte relation pour y avoir ‘’été embauché comme journaliste au Soleil et rencontré son âme sœur avec qui il donnait des cours dans le même établissement professionnel’’.
Ce roman raconte l'histoire de deux jeunes, Daouda et Penda, emportés par le naufrage du bateau le Joola, alors qu'ils cherchaient à s'éloigner de la Casamance pour vivre leur amour loin de Adja Ouly.
Cette dernière, qui est la mère de Daouda, souhaitait marier sa fille avec un homme plus nanti et s'opposait corps et âmes à leur union à laquelle son mari, oncle du prétendant, ne trouvait aucun mal.
APS