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Des élèves du village de l'école élemeentaire de Keur Barba
L’académie renseigne que 60,55% des enseignants et du personnel d’encadrement de sa circonscription ont bénéficié d’activités de renforcement des capacités, 60,50 % de professeurs ont reçu des visites d’encadrement et 94,43 sont inscrits sur la plateforme Mirador.
À Saint-Louis, 80% des établissements sont en projet, 28 situés en zones rurales, bénéficient aujourd’hui, de cantines scolaires.
L’inspection préconise par ailleurs une « bonne dynamique pour la prise en charge réelle de l’enseignement des maths et des sciences » avec des actions de formation des professeurs dans ce domaine et une disponibilité des guides.
Toutefois, une baisse de 6,76 % est notée dans les orientations vers les séries scientifiques. De 2013 à 2016, une « régression critique » est notée chez les filles qui obtiennent 13, 86 points, soit un pourcentage de 25,60 %. Au même moment, une « légère avancée » est notée chez les garçons avec 36,81 % de taux d’orientation.
Ça régresse au Bac !
De 38,99 % de taux de réussite en 2013, 33,58 % a été enregistré en 2014, 31, 38 % en 2015 et 32,24 % en 2016. Pété et Saint-Louis maintiennent le cap avec respectivement 36,25 et 35, 84 contre une situation « préoccupante » de Dagana avec un faible taux de 26, 46 %.
Performances des établissements
Le lycée d’excellence Aimé Césaire arrive en tête avec 100% de taux de réussite, suivi du collège Didier Marie avec 98,44 %. Le Prytanée militaire Charles Ntchoréré se tient en troisième position avec 97,22 %. C’est le Lycée Charles de Gaulle qui ferme le ban avec une note déplorable de 49, 66 %. Le lycée Cheikh Oumar Foutiyou TALL n’a pas amélioré ses performances, de 46,58 % en 2015, il conserve 41,82 % en 2016 soit un gap de -4, 76 %.
Au total, 80% des lycées de Saint-Louis ont amélioré leurs résultats contre 20% encore contre-performants.
Parmi les maux qui plombent la bonne réussite des élèves, l’inexistence de progressions harmonisées dans certaines disciplines, le manque assiduité et régularité des professeurs et le retard dans la correction des copies.
Les pertes de copies, les envois non-sécurisés des épreuves, l’absence d’élaboration participative de la feuille de route et le non-respect strict des programmes à enseigner sont également des freins à l’envol sur secteur.
Boubacar SOW, l'inspecteur de l'éducation de Saint-Louis apprécie ...
À Saint-Louis, 80% des établissements sont en projet, 28 situés en zones rurales, bénéficient aujourd’hui, de cantines scolaires.
L’inspection préconise par ailleurs une « bonne dynamique pour la prise en charge réelle de l’enseignement des maths et des sciences » avec des actions de formation des professeurs dans ce domaine et une disponibilité des guides.
Toutefois, une baisse de 6,76 % est notée dans les orientations vers les séries scientifiques. De 2013 à 2016, une « régression critique » est notée chez les filles qui obtiennent 13, 86 points, soit un pourcentage de 25,60 %. Au même moment, une « légère avancée » est notée chez les garçons avec 36,81 % de taux d’orientation.
Ça régresse au Bac !
De 38,99 % de taux de réussite en 2013, 33,58 % a été enregistré en 2014, 31, 38 % en 2015 et 32,24 % en 2016. Pété et Saint-Louis maintiennent le cap avec respectivement 36,25 et 35, 84 contre une situation « préoccupante » de Dagana avec un faible taux de 26, 46 %.
Performances des établissements
Le lycée d’excellence Aimé Césaire arrive en tête avec 100% de taux de réussite, suivi du collège Didier Marie avec 98,44 %. Le Prytanée militaire Charles Ntchoréré se tient en troisième position avec 97,22 %. C’est le Lycée Charles de Gaulle qui ferme le ban avec une note déplorable de 49, 66 %. Le lycée Cheikh Oumar Foutiyou TALL n’a pas amélioré ses performances, de 46,58 % en 2015, il conserve 41,82 % en 2016 soit un gap de -4, 76 %.
Au total, 80% des lycées de Saint-Louis ont amélioré leurs résultats contre 20% encore contre-performants.
Parmi les maux qui plombent la bonne réussite des élèves, l’inexistence de progressions harmonisées dans certaines disciplines, le manque assiduité et régularité des professeurs et le retard dans la correction des copies.
Les pertes de copies, les envois non-sécurisés des épreuves, l’absence d’élaboration participative de la feuille de route et le non-respect strict des programmes à enseigner sont également des freins à l’envol sur secteur.
Boubacar SOW, l'inspecteur de l'éducation de Saint-Louis apprécie ...
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