Tous les secteurs d’activité économique peuvent prétendre à une police d’assurance, a déclaré mercredi l’expert financier Pape Cissé, exhortant les pêcheurs à souscrire une police d'assurance. M. Cissé, qui bouclait une tournée dans la région de Saint-Louis, a insisté notamment sur le secteur de la pêche, où les professionnels se montrent réticents à recourir aux services des compagnies d’assurance.
Pourtant, ‘l’assurance agricole englobe le secteur de la pêche, et les professionnels peuvent ainsi souscrire une police, a-t-il rappelé.
Ils peuvent ainsi faire face aux pertes et dommages liés à leurs activités’’, a dit M. Cissé, accompagné d’une équipe de l’observateur de qualité des services d’assurance.
Selon lui, ils peuvent être dédommagés en cas d’accident mortel, à la condition toutefois que leurs activités entrent dans un cadre légal.
Cependant, en cas de pertes enregistrées dans des eaux maritimes où l’accès leur est interdit, ils n’auront pas droit à des dédommagements, a-t-il averti.
M. Cissé dit avoir constaté que de beaucoup parmi les réclamations enregistrées depuis l’instauration d’un médiateur des assurances sont liées à des cas de rachat concernant les assurances vie.
‘’Pour ce volet, nous arrivons jusqu’ici à résoudre les litiges pour lesquels nous sommes saisis’’, a-t-il dit.
Il a relevé que pour les cas liés aux accidents, incendies, etc., un taux respectable est enregistré par ce nouveau service méconnu en dehors de la capitale Dakar.
Les cas non réglés sont surtout liés à la méconnaissance du souscripteur qui, souvent, réclame des indemnités auxquelles il n’a pas droit suivant l’assurance souscrite.
La secrétaire générale de la Chambre de commerce, d’industrie et d’agriculture de Saint-Louis, Penda Dia, s’et félicitée du niveau des débats suscités par cette mission qui montre l’intérêt qu’ont les populations par rapport à ce secteur.
‘’Notre rôle est de donner la bonne information aux opérateurs économiques quand nous l’avons, et au cas contraire, d’aller chercher les personnes compétentes pour se faire’’, a dit Mme Dia.
APS
Pourtant, ‘l’assurance agricole englobe le secteur de la pêche, et les professionnels peuvent ainsi souscrire une police, a-t-il rappelé.
Ils peuvent ainsi faire face aux pertes et dommages liés à leurs activités’’, a dit M. Cissé, accompagné d’une équipe de l’observateur de qualité des services d’assurance.
Selon lui, ils peuvent être dédommagés en cas d’accident mortel, à la condition toutefois que leurs activités entrent dans un cadre légal.
Cependant, en cas de pertes enregistrées dans des eaux maritimes où l’accès leur est interdit, ils n’auront pas droit à des dédommagements, a-t-il averti.
M. Cissé dit avoir constaté que de beaucoup parmi les réclamations enregistrées depuis l’instauration d’un médiateur des assurances sont liées à des cas de rachat concernant les assurances vie.
‘’Pour ce volet, nous arrivons jusqu’ici à résoudre les litiges pour lesquels nous sommes saisis’’, a-t-il dit.
Il a relevé que pour les cas liés aux accidents, incendies, etc., un taux respectable est enregistré par ce nouveau service méconnu en dehors de la capitale Dakar.
Les cas non réglés sont surtout liés à la méconnaissance du souscripteur qui, souvent, réclame des indemnités auxquelles il n’a pas droit suivant l’assurance souscrite.
La secrétaire générale de la Chambre de commerce, d’industrie et d’agriculture de Saint-Louis, Penda Dia, s’et félicitée du niveau des débats suscités par cette mission qui montre l’intérêt qu’ont les populations par rapport à ce secteur.
‘’Notre rôle est de donner la bonne information aux opérateurs économiques quand nous l’avons, et au cas contraire, d’aller chercher les personnes compétentes pour se faire’’, a dit Mme Dia.
APS