Le Festival du Sahel et le Festival Métissons, dont les dates s’enchaînent pour leur troisième édition, ont les mêmes objectifs de montrer le potentiel touristique de Saint-Louis, ont révélé au cours d’une conférence de presse conjointe leurs promoteurs Jean-Jacques Bancal et Jean-Michel Schmitt.
‘’Nous voulons montrer que la région est vivante et possède des potentialités énormes même si certains l’oublient très souvent’’, a dit M. Bancal, offrant au public du 23 au 25 novembre à Lompoul un plateau riche composé d’artistes de renom comme Isamel Lô, Takeifa et Wato.
Selon lui, ce festival est conçu comme une fête dans un lieu insolite, notamment le désert où les participants déambulent à pieds-nus dans le sable bercés par des musiques du sahel.
Pour lui, ‘’c’est une façon de montrer que cette partie du pays peut offrir de belles choses contrairement aux images dévalorisants offerts par la partition du mali en deux et de participer aux festivités des 140 ans de notre ville de Saint-Louis’’.
‘’Il y a beaucoup de difficultés à organiser ce festival mais nous y croyons’’, a déclaré le promoteur touristique signalant que l’entrée pour toutes les prestations des artistes sera gratuite.
Cette année, un partenariat a été noué avec Métissons et certains artistes tels Takeifa et Dimitri (Wato) auront le loisir d’évoluer sur les deux scènes, a dit M. Bancal qui salue le soutien des ambassades du Brésil et de France pour leur appui à l’organisation de cet événement culturel en plein désert.
De son côté, Jean-Jacques Schmitt du festival Métissons, prévu du 29 au 30 novembre, tout le plaisir a été pour lui de ‘’partager un plateau avec le Festival du Sahel’’ qu’il espère ‘’va s’inscrire dans la durée et se pérenniser’’.
Pour ce festival prévu à Saint-Louis dans les bars et restaurants, il annonce le retour de Dimitri du groupe franco-sénégalais Wock qui s’est dit réjoui de retrouver ce public qu’il a quitté il y a une dizaine d’année. Ce groupe a révélé Abdou Guité Seck.
Pour lui aussi, ce festival participe à donner une dynamique à la région au plan culturel.
Aps
‘’Nous voulons montrer que la région est vivante et possède des potentialités énormes même si certains l’oublient très souvent’’, a dit M. Bancal, offrant au public du 23 au 25 novembre à Lompoul un plateau riche composé d’artistes de renom comme Isamel Lô, Takeifa et Wato.
Selon lui, ce festival est conçu comme une fête dans un lieu insolite, notamment le désert où les participants déambulent à pieds-nus dans le sable bercés par des musiques du sahel.
Pour lui, ‘’c’est une façon de montrer que cette partie du pays peut offrir de belles choses contrairement aux images dévalorisants offerts par la partition du mali en deux et de participer aux festivités des 140 ans de notre ville de Saint-Louis’’.
‘’Il y a beaucoup de difficultés à organiser ce festival mais nous y croyons’’, a déclaré le promoteur touristique signalant que l’entrée pour toutes les prestations des artistes sera gratuite.
Cette année, un partenariat a été noué avec Métissons et certains artistes tels Takeifa et Dimitri (Wato) auront le loisir d’évoluer sur les deux scènes, a dit M. Bancal qui salue le soutien des ambassades du Brésil et de France pour leur appui à l’organisation de cet événement culturel en plein désert.
De son côté, Jean-Jacques Schmitt du festival Métissons, prévu du 29 au 30 novembre, tout le plaisir a été pour lui de ‘’partager un plateau avec le Festival du Sahel’’ qu’il espère ‘’va s’inscrire dans la durée et se pérenniser’’.
Pour ce festival prévu à Saint-Louis dans les bars et restaurants, il annonce le retour de Dimitri du groupe franco-sénégalais Wock qui s’est dit réjoui de retrouver ce public qu’il a quitté il y a une dizaine d’année. Ce groupe a révélé Abdou Guité Seck.
Pour lui aussi, ce festival participe à donner une dynamique à la région au plan culturel.
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